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 Nuit noire (SPENCER)

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Spencer Walters
Spencer Walters
☆ Inscription : 03/05/2013
☆ Messages : 154
☆ Célébrité : Daniel Hicks
☆ Dispo : présence réduite
☆ Blaze : R.
☆ Réputation : 8
☆ Âge : La quinzaine d'année
☆ To do list : ☐ se faire des amis
☐ se réconcilier avec sa némésis
☐ faire remonter son niveau scolaire
☆ Call me maybe : présentation . fiche de liens . suivi des sujets
Nuit noire (SPENCER) Empty
MessageSujet: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) EmptyVen 3 Mai 2013 - 20:17



Circulez, messieurs-dames, y'a rien à voir...
⚜Sexy&I know it
❒ Acariâtre ❒ Déterminé ❒ Désobligeant ❒ Intelligent ❒ Froid ❒ Méthodique ❒ Jaloux ❒ Pragmatique ❒ Obstiné ❒ Sensible ❒ Renfermé ❒ Sincère


Spencer appartient à cette catégorie de personnes différentes en surface et en profondeur. Au fond de lui, Spencer n'est pas plus méchant qu'un autre. Le problème est sa grande jalousie, qui le handicape sérieusement dans ses rapports aux autres. La carapace qu'il s'est forgée n'est qu'une manière comme une autre de se protéger du regard des autres, bien que ça soit aussi ce qui rend si négatif ce regard. Longtemps impuissant, Spencer s'est laissé enfermer dans ce personnage qu'il s'est construit, au point d'étouffer. Il en veut énormément à la vie et à la malchance qui a conduit à la faillite sa famille. Pourtant, l'adolescent n'a jamais désiré la vengeance : il a toujours été tempéré sur ce point. Peu violent, il lui arrive cependant d'avoir des paroles blessantes, mais celles-ci expriment plutôt son mal-être profond. Spencer a toujours eu un don pour les études, du fait qu'il est extrêmement organisé. Cependant, son côté carré lui a souvent joué des tours, au point qu'on a dit de lui qu'il était plutôt strict.
Spencer a un goût pour les formes carrées, la salade de betterave, les films tristes et les couleurs ternes. Il déteste les personnes exubérantes, les haricots verts, le fromage ainsi que les activités sportives. Il fume un peu trop, mais sait se tenir raisonnablement avec l'alcool. Il a une très grande endurance, a besoin de peu de sommeil et parle généralement assez peu, mais lorsque c'est le cas, il sort des tirades assez longues et barbantes. Il passe facilement inaperçu.
ID Card
Le charmant papillon de nuit que je suis, communément surnommé Spicy, entre autres noms moins agréables, a vu le jour le 25 juillet 1997 à Londres. Je précise, au cas où vos petites têtes seraient plus faites pour la décoration que pour la réflexion, que j'ai donc seize belles années derrière moi. Je suis sans aucun doute l'un des spécimen britannique les plus sexy qui soient, on me confond d'ailleurs souvent avec Daniel Hicks. Des intéressés? Pour tout dire, je suis célibataire et bisexuel. Je suis boursier, raison pour laquelle vous me verrez déambuler dans les couloirs de Poudlard. J'y entame mon 10th grade, options chimie appliquée et droit, parmi les L team de niveau : E, mais peut-être pas pour longtemps. Accessoirement, je travaille en tant que correcteur de sites web. Je suis un personnage inventé.



“ Dans ce pays noir et pluvieux, l'adolescence est le refuge des parias de la vie.


⚜Me, myself & I
☆ histoire : la pluie tombe à grosses gouttes autour de moi. Je contemple un ciel gris et morne, reflet ironique de cette âme peinée que je porte en moi. Le petit parapluie que je serre dans ma main d'enfant ne suffit pas à me couvrir entièrement ; l'eau détrempe mon pantalon, qui se colle contre mes jambes, tandis que mes chaussures sont gorgées d'eau. Malgré le chagrin de mon âme, je sens très bien la morsure du froid. Mais comment pourrais-je me sécher et me réchauffer, moi dont le cœur n'est qu'une plaie nourrissant ces larmes abondantes qui se répandent sur mes joues ? Peu importe si je ne comprends pas ce qui se passe. J'ai parfaitement conscience que mon avenir s'annonce sombre. C'est pour cela que le temps s'est mis au diapason ; le beau soleil du matin a disparu derrière ces gros nuages orageux.
Et puis, une main se pose sur mon épaule. Je reconnais le geste de ma mère, cette femme sublime à qui je dois la vie. Je suis trop petit pour voir son visage sans lever la tête, et je ne le ferai pas, car je ne veux pas le faire. Inutile de vous expliquer pourquoi, je ne m'en souviens plus. Je serre toujours mon petit parapluie. J'ai l'impression que c'est une ancre dans cet océan tumultueux dans lequel je suis tombé. Si j'expose mon visage à la pluie, je crois que les gouttes me noieraient aussi sûrement que des vagues déchaînées. Alors, je ne la regarde pas. Peut-être aurais-je dû le faire, car je l'aurais certainement vue pleurer. Évidemment, j'ignore tout de ce qu'elle a fait, mais à présent, je reconstruis mon histoire. Les faits sont tellement simples que je n'ai pas besoin de les expliquer. Moi, en revanche, je suis dans un état pitoyable. Et j'imagine que cela vaut aussi pour mes parents. Excusez-moi de ne pas avoir regardé. Si je l'avais fait, je n'aurais jamais distingué ses larmes dans toute cette eau ambiante. Bon sang, ce qu'on peut être minuscules dans cette terre. Jamais, je crois, je n'ai vécu de tel instant. Mon monde s'écroulait par pans entiers.
« Il est temps d'y aller » me souffle ma mère. Elle n'a pas pris la peine de se pencher vers moi, elle ne doit pas en avoir la force. Mais ces mots me sont si directement adressés que je ne peux m'empêcher de pousser un léger gémissement. Si elle m'entend, elle ne me le fait pas savoir. Elle se montre si distante avec moi, et pourtant, je la sens si proche. Le contact de sa main, sans doute. Ou bien le fait que je n'ai personne d'autre sur qui compter – à part mon père, bien sûr, mais il n'est pas là, et cela vaut mieux. Il a des affaires à gérer, je ne lui suis pas utile. La main me pousse en avant, mes jambes répondent avec automatisme. Nous traversons la route, et nous voilà face à cet abominable immeuble sombre où je vais passer le reste de ma vie. Ma gorge se serre à son tour face à cette vision. Pour un peu, je croirais entrer dans le règne des ténèbres. Des passants nous contournent, je m'étonne que personne ne nous remarque. Avant, ça n'avait jamais été ainsi. Mais l'avant n'est plus. Désormais, seul le présent compte. Lorsque je pénètre pour la première fois dans ce sombre vestibule, calquant mon pas sur celui de ma mère, je comprends ce que c'est que de vivre au jour le jour : la lumière du hall fonctionne par intermittence, et semble décider lorsqu'elle va fonctionner. Reste à savoir si vous avez assez de chance pour que la lumière veuille bien vous toucher.

ici, personne ne sait ce que c'est que de se retrouver du jour au lendemain quasiment à la rue. Il y a deux types de gens selon moi : ceux qui ont tout, et ceux qui n'ont rien. Et moi, où suis-je ? Peut-être dans cette minuscule case réservée aux ovnis. Un espace étriqué où l'on range ceux qui n'ont pas su rester à leur place. Peut-être aurais-je été moins amer si l'on avait la place pour y respirer. Tout ceci ressemble à une quête perpétuelle, une sorte de survie plus ou moins rendue nécessaire par le fait que vous ne savez pas où vous êtes et qui vous hait. D'accord. Il n'en a pas toujours été ainsi. Mais j'avais six ans lorsque tout a changé. J'ai grandi avec cette idée en tête, impossible de m'en débarrasser. C'est encore plus efficace qu'un lavage de cerveau en règle. Grandissez avec une obsession, vous verrez si vous n'en portez pas les marques par la suite.
L'appartement est lugubre en comparaison de ce que j'ai connu. Les grandes baies vitrées se sont envolées au loin, emportant mes rêves au passage. Cela étant, ça ne me manque plus, désormais. Quand je vois le quartier, je me dis que je préfère encore ne pas le voir. C'est pour cela que j'ai de grands rideaux gris à la fenêtre de ma chambre. Gris comme ma vie, gris comme mon caractère. Le même papier peint jaune est toujours accroché au mur. Il a encore vieilli depuis le temps, mais je refuse désormais que quiconque y touche. J'ai pris l'habitude d'y noter des phrases type philosophiques, qui reflètent mon attitude du moment. Des phrases comme « Vivez, mourez », ou bien « La liberté est à droite (non, l'autre droite) ». Des mots sans sens, mais qui me viennent naturellement. Je me sens brûler de l'intérieur si je ne marque pas cela sur le mur. J'attaque déjà le deuxième pan. Parfois, je m'assois sur mon lit et je contemple mon œuvre. Je souris, et dans ce mouvement de visage, l'effroyable ironie vient ricaner de la situation.

premier jour d'école dans le quartier, premier jour d'humiliation. Si je n'avais pas encore conscience de ma disgrâce, je ne peux plus l'ignorer. Avec mes beaux habits, je parais décalé dans cette cour remplie d'enfants normaux. Autour de moi, j'ai l'impression que tout le monde murmure le mot « faillite », comme une accusation. Pourtant, dès que je tourne la tête, les autres enfants ne me regardent pas. Ils jouent entre eux, discutent et se chamaillent avec une innocence que je crois avoir perdue. J'ai envie de pleurer. Je suis trop fier pour cela. Ma mère m'a laissé seul à l'entrée du portail – elle doit se rendre à son nouveau travail. Cela ne l'enchante guère, mais elle ne me le montre pas, et à l'époque, je suis incapable de faire le lien entre ce que je ressens à l'égard de ma nouvelle école et ce qu'elle doit ressentir. D'autant plus que je me sens complètement perdu. Aucune hostilité n'est manifestée envers moi, et pourtant, je me sens mal à l'aise. J'ignore tout des usages du lieu et je tourne en rond en attendant de trouver ma place.
Je suis installé à côté de la fenêtre, au deuxième rang. Ç'aurait pu être pire, même si j'ai l'impression d'être écarté, parce que je suis à un bout de la salle. Mon voisin de droite est un drôle d'énergumène aux cheveux blonds et aux yeux bruns. Il me regarde fréquemment comme si j'étais une bête de foire, et je ne peux m'empêcher de lui rendre les mêmes regards. Si à cet âge, les amitiés se font et se défont rapidement, j'ai toujours ressenti une forte animosité de sa part à laquelle je me suis empressé de répondre avec la même ferveur. Mais ça n'a jamais été plus loin. Je ne le supporte pas, il ne me supporte pas, c'est ainsi. Mais cela ne m'empêche pas de lui prêter un stylo lorsqu'il lui en manque un.
La voix de l'enseignante me parvient. Plutôt que de me concentrer sur mes camarades, je décide implicitement d'écouter ce qu'elle a à nous dire. Quoique d'un naturel peu obéissant, j'étais tellement seul que je n'avais rien d'autre pour me distraire que la découverte de la salle de classe. J'en ai vite fait le tour : armoire, tableau, affiches plastiques et ludiques, rien de bien original. Elle prend le temps de me présenter, mais elle ne donne pas les motifs de ma venue. À l'époque, j'ignore que c'est parfaitement normal, mais sur le coup, je pense que c'est vraiment sympathique de sa part. Les autres enfants me regardent avec divers airs, mais globalement, je me rends compte qu'ils n'en ont rien à foutre de moi. Tant mieux, car je ne vois aucun intérêt à ces visages dont je ne trouve pas encore le nom. Puis le cours commence. D'une certaine manière, jamais je ne parlerai de ce que j'ai vécu avant. Je m'intègre comme je peux, c'est-à-dire que je suis toléré plus qu'adopté. Je pense que la différence de milieu d'origine en est la raison, mais à présent, j'ai une meilleure explication : je n'étais pas un enfant ouvert, ni très réceptif aux signes d'amitié. Je portais ma différence avec fierté, sans vraiment y songer, d'ailleurs. Quelques uns ont brièvement percé ma carapace. Normal, elle était encore molle.

d'accord, je suis doué. Mes résultats sont excellents, il faut le reconnaître. Cependant, ce n'est pas tant dû à un travail régulier qu'à un don naturel. Je joue autant que n'importe quel enfant, j'invente des histoires plus débiles les unes que les autres. Ma préférée est sans conteste celle du pauvre paysan qui découvre un jour qu'il est un prince. C'est tout l'inverse de ma vie, c'est cela que j'aime tant. Mes parents sont fiers de moi. Je crois qu'ils ont l'impression que je vais réussir là où ils ont échoué. Ou peut-être me conçoivent-ils comme une vengeance prise contre la vie. Je suis certain qu'à l'époque, ils y voient un signe que je réussirai de grandes études. Ils pensent qu'il n'y a pas de raison pour que je ne réussisse pas. Ils m'en parlent parfois à demi-mots, mais je suis trop petit encore pour le savoir.
Mon père s'assoit sur mon lit pendant que je joue sur le sol. Avant, j'avais un tapis sur lequel reposer. Heureusement, j'ai gardé mes jouets, ils sont une attache forte à ce avant tant rêvé. Il se racle la gorge pour attirer mon attention, mais je le regarde déjà. Il est austère ainsi assis, le dos bien droit, le regard intense fixé sur moi. Instantanément, je me sens mal à l'aise. Les personnes qui se tiennent trop droites me font cet effet là, car elles me rappelent la posture de mon père le jour où il m'a appris qu'on allait déménager. J'aimerais tant me lever pour ne pas être écrasé par sa taille imposante, mais mes jambes sont en coton, et je suis trop craintif pour le faire. Je n'ai pas l'espoir qu'il m'annonce un retour à avant. S'il a quelque chose à me dire, ce doit être pour une chute, encore. Mais non. Il me regarde avec un sourire tendre, je perds mon sourire crispé. Le silence est brisé. Il me dit à quel point il est fier de moi, comme il regrette de ne pas pouvoir m'offrir ce que je vaux, mais il me promet un très beau cadeau pour mon onzième anniversaire. Il m'adresse un grand sourire, comme pour me convaincre de ce qu'il dit. Mais je ne saisis pas l'importance de ses paroles, même si je lui dis que ce qu'il fait est bien. Je n'aurai pas onze ans cette année, alors sa promesse lointaine m'échappe complètement. Fort heureusement, je n'ai pas douté de celle-ci. Je n'y ai pas cru cependant. Je n'avais pas d'avis sur celui-ci.
Nous avons régler ensemble les papiers administratifs pour mon admission à Poudlard. Voilà le cadeau qu'il m'avait réservé : une place dans l'une des meilleures écoles qui soit. Naturellement, j'en suis content. J'en hurle de joie. J'ai l'impression de revenir à ma place, même si mon père m'a prévenu que ce ne serait pas facile. Peu importe. Je me sens si satisfait.

l'illusion est une des plus belles inventions de l'homme, mais je pense qu'on peut dire que l'homme en est directement victime. Lorsqu'il en crée, il cherche à se venger de toutes les fois où il a été trompé de la sorte. Car qui d'autre qu'un enfant aurait pu croire que tout allait s'arranger si facilement ? La vérité, c'est que j'avais déjà si mauvais caractère que cela ne pouvait qu'empirer avec les années. Mais pas tout de suite, oh non. Tant que la gentillesse de l'enfance était présente, je me sentais tiré d'affaire. Je ne sais pas ce qui m'a fait complètement déraillé. C'est pour cela que je ressens le besoin de revenir sur ces années. Et pourtant, j'ai beau les regarder, je ne vois aucune coupure nette. Rien d'autre qu'une lente descente aux enfers qui a commencé le jour où j'ai mis le pied au collège.
J'ai la boule au ventre et le teint cireux lorsque je pénètre pour la première fois dans le château. N'importe qui aurait été anxieux, de toute façon. Mais chez moi, cela tournait à l'obsession. Le cadre était idyllique et bien entretenu. Je reconnaissais un travail de qualité rien qu'à l'architecture. Autour de moi, les élèves ne me portaient pas plus attention qu'autrefois. Ils auraient pu être hostile que je ne m'en souciais guère. L'anonymat m'allait bien. J'étais prêt à recommencer une nouvelle vie digne de ce que je me sentais valoir. L'immensité du lieu et le prestige de l'école ne m'écrasaient pas, ils me portaient. J'étais anxieux, mais sur un petit nuage.
C'est là que j'ai rencontré ma némésis – ou appelez-le comme vous voulez, mon ami, mon point faible, mon erreur... Je crois bien qu'il est tout cela à la fois. Un gosse de riche qui n'a pas eu l'occasion de faire la même chute que moi. Je ne sais même pas si je la lui souhaite ou pas. Je n'ai jamais été très clair avec lui. En tout cas, ça a commencé par une sorte d'hostilité. Il est là, dans un couloir, parfaitement à l'aise dans l'environnement. Il s'y fond si bien que je ne l'ai même pas vu. Je cherche le chemin vers ma salle de cours, et bien entendu, j'ignore où aller. Alors je flâne un peu partout. Le hasard me fait tomber sur lui. Ou du moins, c'est lui qui me voit et qui vient me parler. M'embêter, plus exactement. Je ne sais pas ce qu'il recherche, j'ai simplement l'impression qu'il ne supporte pas ma présence. Alors je réplique à mon tour. Mes phrases sont violentes, car je sais parfaitement ce que pense un jeune pauvre d'un jeune riche. Et je suis capable d'y mettre toute la rancœur accumulée pendant des années. Ça l'étonne peut-être, je ne sais pas. Mais ce qui, me concernant, m'a vraiment étonné, c'est de me rendre compte qu'il était dans la même classe que moi, et qu'il ne m'a pas lâché jusqu'au 9th grade.

bien, je crois qu'il est temps d'avoir une vue d'ensemble sur ces quelques années précises. Après tout, ce qui m'intéresse, c'est la vue d'ensemble, car, comme je le disais, il n'y a pas eu de rupture nette et précise dans ma vie. Tout au plus puis-je vous parler des particularités de chaque année, des événements qui s'y sont déroulés.
La première année est bien sûr la plus importante de tous. C'est la première fois que je quitte l'appartement familial pour m'installer à l'internat du collège. Pour mes parents, c'est une évidence : ils ne veulent pas que je reste là-bas, et ce d'autant plus que la distance est conséquente. Pour mes études, il vaut mieux que je sois sur place. Évidemment, quitter sa famille est bien plus complexe. J'avais pu compter sur ma mère lors du déménagement, sa main sur mon épaule ne s'était jamais éloignée, et voilà que désormais, je suis seul et devais me débrouiller comme un grand. Pas facile, il faut l'admettre. Mais pour moi, il est hors de question de céder et de m'apitoyer sur mon sort. J'ai envie de rebondir face à cinq années que je considère comme des échecs. Je m'investis dans mes études parce que je n'ai rien d'autre à faire. Je m'ennuie un peu. On pourrait croire que je me sentirais comme un poisson dans l'eau dans cet environnement. Mais petit à petit, je me rends bien compte que ce n'est pas le cas. Lentement, je comprends que je n'ai plus rien à voir avec les riches catégories sociales, je suis assimilé aux plus modestes alors que je me sens si différent d'eux. Pour n'importe qui, ça n'aurait pas eu d'importance, mais pour moi, cela s'assimile bien à un drame. Si vous vous souvenez bien de ce que j'ai dit plus haut, je viens de découvrir que j'appartiens à la minuscule case des marginaux incasables. J'en suis devenu assez hostile. Mais n'exagérons pas : je ne suis pas invivable. J'ai quand même réussi à bien m'entendre avec certaines personnes. Mais pas uniquement. Amis, ennemis, némésis, autant dire que ma vie amicale est bien remplie. Ma vie sentimentale, elle, reste bien vide. Je ne suis pas prêt pour ce genre de chose. Avec ma némésis, nous sommes amis. Plus ou moins. Nous avons du mal à être gentil l'un envers l'autre. Je suis déjà en difficulté sentimentale. Mais je suis encore au plus haut. Le sourire quitte rarement mon visage et, lorsque je veux, je me montre agréable. Au fond, je suis encore un enfant, je ne suis pas méchant, je suis encore innocent et inconscient... comme mes camarades. Même si je sens qu'une épine s'est enfoncée dans mon cœur, j'y accorde peu d'importance, car nous nous amusons bien. Mes résultats sont à la hauteur des espérances de mes parents, qui me font régulièrement savoir à quel point ils sont satisfaits de moi. J'aime voir à quel point je fais leur fierté, et je veux continuer.
Malheureusement, le 7th grade arrive, porteur de nouveaux défis. Le niveau scolaire a augmenté, mais j'arrive toujours à suivre avec facilité. Mon humeur, en revanche, ne s'arrange pas. Je ne suis pas plus détestable qu'avant, mais ma façon de prendre distance avec les gens commence à les énerver. C'est aussi à ce moment-là que je me mets vraiment à haïr. La haine est un sentiment si fort qu'il ne faut pas le prendre à la légère. Or, je peux dire que j'ai découvert ce sentiment-là. Seulement, j'ignore totalement contre quoi celle-ci est dirigée. Je sens juste une boule très forte qui grandit au fond de ma poitrine. Parfois, je vais trop loin avec ma némésis, et je regrette souvent mes paroles. Nous sommes souvent en froid, puis nous passons à autre chose. Sans cesse. Plus je grandis, plus je me demande ce que cette relation va donner. Nous sortons peu à peu de cette relation enfantine pour construire quelque chose d'instable. Je ne pense pas que cela puisse donner du positif. Mais tant pis. Je me sens encore heureux, et c'est bien cela l'essentiel. Rien ne se joue encore.
Avec le 8th grade, les choses s'accélèrent encore. Je maintiens mon niveau scolaire, mais cela me demande plus d'efforts qu'auparavant. La vérité est que j'ai de plus en plus de mal à me concentrer sur ce que je fais. Une sorte de dégoût de ma vie s'empare peu à peu de moi. Je me sens comme un minable, un raté parce que je n'ai pas encore trouvé ma place. Je n'ai pas un groupe d'amis très stable et, si je me dispute moins avec ma némésis, le silence s'installe souvent entre nous deux. Je ne sais pas ce qui se passe. Nous devenons plus sages, peut-être. Mais c'est à ce moment-là que je me rencontre que je l'apprécie bien plus que je le déteste. Car je le déteste quand même un peu, malgré tout. Il est tout ce qu'il n'est pas, je le jalouse pour cette raison. C'est aussi pour cela que je le provoque moins. La mélancolie s'est emparée de moi et ne compte pas me lâcher. Il m'arrive de vouloir du mal aux autres élèves. Dites-moi, ne suis-je pas en train de m'enfermer dans une épaisse muraille ?
Quand vient le 9th grade, rien n'est encore joué. Pourtant, les premiers effets de la perversion sont déjà là. Je me montre moins assidu en classe. Lorsqu'on me demande pourquoi, je ne réponds pas. Ou plutôt, j'inscris la réponse sur les murs jaunes de ma chambre à grand coup de stylo, noir comme mes pensées. Avouons-le, je vais de plus en plus mal, mais cela me motive tant. Je parviens encore à préserver ma sociabilité, même si je me rends compte que je hais ceux qui me paraissent trop parfaits, ceux que j'envie le plus. Je n'ai jamais été sélectif sur mes fréquentations, mais je me dis qu'il est grand temps de m'y mettre. Pourtant, je n'y arrive pas. Une trop grande impossibilité se saisit de moi. Je me sens incapable de construire des projets, de m'élancer. Je m'étouffe un peu sur moi-même, mais je fais encore l'effort de me débattre. Ma première fois masculine, c'est avec lui que je la vis, mais ce n'était pas le résultat de sentiments passionnés ou de je ne sais quoi. Ce n'était qu'une simple expérimentation entre lui et moi. Il faut croire qu'il n'aurait jamais tenté cela avec un autre. Mais de toute façon, ça n'a pas d'importance, car ça n'a rien changé entre nous, et surtout, ça ne m'a jamais engagé. Mon cœur est pris. Je n'ai pas assez de force pour avouer à cette fille qui me plaît tant que je l'aime, mais je m'en moque encore. Je me sens jeune, j'ai le temps.

les résultats de l'examen d'entrée au lycée ont vraiment tout fait foirer. Jusqu'alors, la pente était descendante, mais lorsque je regarde mes résultats, je suis atterré. J'ai même honte de les annoncer à mes parents. Ils me regardent comme si j'étais un paria. Je m'enferme dans ma chambre et termine le pan de mur entamé des années plus tôt. Fin d'un cycle, messieurs-dames, et votre serviteur doit désormais en faire le bilan. Croyez-moi, il n'est guère glorieux. Je pensais sincèrement que j'allais me trouver une place, m'intégrer parfaitement dans ce bahut de riches. La vérité est que je suis trop envieux pour ne pas le montrer aux autres. Je semble toujours les accuser. Seuls les personnes de ma catégorie sociale échappent à ce jugement, mais je ne peux pas dire non plus que je leur rends honneur. Tout le monde se lasse, et j'en avais lassé plus d'un avec ma foutue obsession. J'étais allé trop loin, si bien que je me trouvais au pied du mur. Ça n'avait rien d'agréable.
Je suis admis, mais je n'ai pas d'autre motif de réjouissance. Un simple niveau E est inférieur à ce que j'ai l'habitude de produire, d'où l'incompréhension de mes proches. Ils espèrent que cela est dû à une crise d'adolescence. Si un jour, j'intègre une bonne université, ils me le pardonneront. Pour la première fois, je sens qu'ils ont mis une pression sur moi alors que je ne l'ai jamais soupçonnée. En plus de cela, il était difficile d'admettre qu'ils m'avaient bien cerné : pas de maison pour moi, j'étais condamné à être un étudiant sans visage, médiocre au milieu d'une foule anonyme. Bonjour l'angoisse.
Tout cela, j'aurais pu le supporter. Mais ce qui m'a fait exploser, ça a été la réaction de ma némésis. Je ne saurais jamais décrire à quel point il semblait déçu de moi ; je le lisais clairement sur son visage accusateur. Lui, bien sûr, avait obtenu de très bons résultats et une maison. Rien de bien étonnant, en fait. Étrangement, c'est dans ce moment-là que je crois que nous avons pu saisir ce qu'était notre relation : tumultueuse, contradictoire, fusionnelle, mais sans passion. Le voir partir m'a fait un grand choc. Depuis ce moment là, il m'évite royalement. Je lui en veux énormément.

bref, l'instant présent. En un sens, je ne me suis jamais senti aussi mieux qu'en ce moment, car je me sens libre de m'exprimer pleinement. Mon caractère a complètement changé durant ces dernières grandes vacances. Je fais vraiment attention à moi, désormais, et je ne bosse pas plus que je m'en sens capable. Je me suis forgé une réputation de salaud au sein du lycée. J'en grimace. Bien sûr, elle ne me plaît pas, et au fond de moi, je ne ressemble pas du tout à cette image de moi, à cette image que je vous ai construite au fil de mon récit, mais ils ne le savent pas. Je suis trop enfermé dans la fatalité pour avoir la liberté de me changer. Alors tant pis, les amis, je fais avec.
Au fond, si je n'ai plus envie d'avoir d'amis, c'est bien à cause de ma némésis. Je hais le voir m'ignorer complètement. Je sais que je l'ai déçu. Cependant, je suis trop fier pour vouloir rentrer dans ses bonnes grâces. Je veux qu'il m'apprécie tel que je suis. Je refuse de savoir ce qu'il attend de moi. Mais je dois quand même avouer qu'il me manque énormément. C'est compliqué, tout cela. Un jour, nous mettrons tout cela au clair.
Noire comme la nuit. Je ne décrirais pas autrement l'humeur que j'ai depuis cette rentrée. Je suis acariâtre, susceptible et franchement pénible des fois. Je ne ne me préoccupe plus vraiment de mes résultats scolaires. De toute façon, ma vie est catastrophique, n'est-ce pas ? Que puis-je faire, dites-moi, pour éviter cela ? Rien. Je suis condamné à être perdu dans une foutue masse, sous mes rêves et mes espérances, au sein de ce qui pour moi symbolise la déchéance. Tant pis

mais quoi ? Allons-nous rester comme ça ? Je me redresse dans mon lit d'internat. La nuit est bien installée. Autour de moi, rien ne bouge. Seules des respirations douces viennent troubler le calme de la scène. Je me rends compte d'à quel point je me suis montré stupide ces dernières années. Tout ce que je sais faire, c'est de m'apitoyer sur mon sort. Or, j'ai quinze ans, je ne suis pas fini. Je me rends compte que j'ai largement le temps de me reprendre en main. Peut-être pas au niveau scolaire, j'ai de nombreux progrès à faire pour atteindre le niveau acceptable. Mais ailleurs, dans ma vie... je dois me refaire des amis. Et le revoir. Oh, ça oui. Je dois le revoir.

☆ admission : je suis un ancien riche et, quoi qu'on en pense, ma famille sait parfaitement se débrouiller pour me faire rentrer dans les meilleures écoles du pays. Certains gestes ne s'oublient pas. En l'occurrence, je me suis fait pistonné par un ancien collègue de mon père pour que j'obtienne la fameuse bourse. Deux précautions valent mieux qu'une, car je crois que mes excellents résultats de l'époque auraient suffi. C'est aussi ce qui m'a servi pour l'entrée au lycée. Malgré mes difficultés, je suis resté un bon élève jusqu'aux examens d'entrée. J'ai dérapé ensuite, mais je sais que j'ai le potentiel scolaire pour réussir. Il n'empêche que mes capacités en relations sociales sont vraiment minables. Aucune importance. Il me reste encore quelques années pour me perfectionner et devenir l'élève parfait.




⚜Love me maybe?
Et ça y est, le moment est venu de vous pencher sur le joueur fou derrière l'écran. Pas de chance, je n'ai pas l'habitude de parler de moi. C'est juste au cas où je décide un jour de devenir un super assassin de la mort qui tue ou bien une superstar (à vous de voir). Mais je plaisante. En vrai, je suis une personne très sérieuse qui plaisante pas mal, mais plutôt dans le style ironique, si vous voyez ce que je veux dire. Je suis âgée d'un peu moins de vingt ans, je vous laisse calculer. J'appartiens aussi à une élite étudiante, puisque j'étudie en deuxième année de classe préparatoire littéraire (plus pour très longtemps, peut-être). Grande littéraire, je suis plutôt amatrice de fantasy et de grande littérature, mais l'univers de J. K. Rowling a fini par me devenir insupportable. En fait, c'est mon enfance, et j'aimais bien les premiers tomes. Seulement, à partir du tome quatre, c'est devenu vraiment n'importe quoi. En revanche, j'ai littéralement accroché au contexte, je rêvais de tomber sur un forum comme celui-ci, et quand j'ai vu vos capacités en graphisme-codage, je me suis dit que ce forum était pour moi. Maintenant, je n'attends plus que de voir ce que ça donne en RP.
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Théodore R. Nott
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Théodore R. Nott
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☆ Crédits : EYLIKA
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☆ Études : 11th ; MPI & chimie appliquée ; club d'échecs.
☆ Côté coeur : la mère de Blaise en sous-vêtements.
☆ Profil rp : un bigorneau qui s'aventure souvent sur le territoire des léopards, wesh. et je prends de tout, les bigorneaux, léopards, couscous tachetés...
giòdracolulabryn-joe
→ pansy, tracey, erza, terry

☆ To do list :
Spoiler:

☆ Call me maybe : il était une fois un veaudelune des bois, qui se cherchait une fratrie à la tombée de la nuit pour dessiner des cercles concentriques sur une étendue désertique.
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MessageSujet: Re: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) EmptyVen 3 Mai 2013 - 20:23

damn, un membre en or dis-donc potté fan


j'ai pas encore lu ta fiche parce que je devrai aller pieuter bientôt mais je lirai demain et GOSH, t'es un membre en or : tu viens, avec ta fiche toute prête, que demande le peuple ? oo fffiou ! bienvenuuue sur bitivi, petit escargot des plaines, si tu as la moindre question, envie de croissants ou quoi, n'hésite pas à nous mpotter *---* je dirai bien bon courage pour ta fiche mais c'est même plus la peine dent alouuurs, en espérant que tu te plaises parmi nous ! yeah sache qu'on est (très) fifous ici, n'aie pas peeeur, mon enfant ! kkk
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Spencer Walters
Spencer Walters
☆ Inscription : 03/05/2013
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☆ Dispo : présence réduite
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☆ Réputation : 8
☆ Âge : La quinzaine d'année
☆ To do list : ☐ se faire des amis
☐ se réconcilier avec sa némésis
☐ faire remonter son niveau scolaire
☆ Call me maybe : présentation . fiche de liens . suivi des sujets
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MessageSujet: Re: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) EmptyVen 3 Mai 2013 - 20:31

Woaw, c'est trop flatteur, je suis un membre en or. youpi
J'espère juste que tu ne déchanteras pas quand tu liras, alors.
Merci beaucoup. D'ailleurs, j'vais dodo aussi.
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Bonnie Dunstan
Bonnie Dunstan
☆ Inscription : 17/03/2013
☆ Messages : 258
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☆ Surnom(s) : bee
☆ Dispo : présent(e)
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☆ Réputation : 15
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☆ Études : 12th grade (tic) + membre des anonymous
☆ Profil rp : salut, moi j'suis tachetée et je cours plutôt vite, donc j'crois qu'on peut me considérer comme un léopard. cela dit, il m'arrive de faire des rechutes ; pendant ces horribles périodes, je perds mes jambes et en viens même à vivre dans la mer (dure extrémité, je sais). les avantages dans tout ça, c'est que je ne refuse jamais un rp ; tu peux demander à jensen ici, à dereck , à aiden plop & à bryn BOUM.
☆ To do list :
Spoiler:

☆ Call me maybe : il était une fois une jeune mythomane des steppes/presque aussi pauvre que cendrillon a ses débuts/qui cherchait à rétablir la justice dans ce bas monde grâce à ses yeux bleus.
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MessageSujet: Re: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) EmptyVen 3 Mai 2013 - 21:35

waaaaaah, à peine postée, déjà remplie. ça c'est du rapide. cela dit, j'suis deg, j'arrive avec plus d'une heure de retard, tch. comment j'ai fait pour ne pas voir cette fiche avant? enfin bref, osef. bienvenuuuuuuuuue sur btv, et je file lire ton histoire, ça va meubler ma nuit heart
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Bryn-Joe Bailey
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(mai) Nan mais tu rends compte!?
Bryn-Joe Bailey
☆ Inscription : 29/04/2013
☆ Messages : 347
☆ Célébrité : cora keegan.
☆ Me, myself & I : potter.
☆ Surnom(s) : la mioche, brioche voire brynie.
☆ Dispo : présent(e)
☆ Blaze : diesel / dory.
☆ Crédits : sur l'avatar.
☆ Réputation : 11
☆ £ : 386
☆ Âge : 18 ans.
☆ Études : 11th, option littérature & langues étrangères, club de natation et dealeuse de bonnes notes et appréciations pour arrondir les fins de mois.
☆ Côté coeur : néant, cqfd : open.
☆ Profil rp : ça dépend de l'inspiration, en fait.
petite vengeance imprévues avec bonnie.
terry drogue la bryn.
teddy et bj perdus au milieu de nulle part.
séance de voyance pour lavande.
★ GAY PRIDE (uc).
★ avec giò (uc).

bientôt : bj / elena.
☆ To do list : ☐ aller au cinoche avec Nate.
☐ adopter un chaton.
☐ manger un piment ?
☑️ acheter des m&m's.
☐ emmener mon pc à erza.
☑️ demander à terry comment ça marche, twitter.
☐ faire tous les clubs de londres en un week-end (avec lena).
☐ s'incruster dans un match de foot.
☐ coincer spencer à la bibliothèque.
☐ dormir à la belle étoile.
☐ trouver l'amûûûr.
☐ faire des bébés à teddy - oups.
☐ trouver un cadeau pour mon confident.
☆ Call me maybe : carte d'identité ♦️ ajouter comme ami ♦️ aventures effectuées ♦️ twitter.
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MessageSujet: Re: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) EmptySam 4 Mai 2013 - 5:51

Bienvenue parmi nous, monsieur Walters !
Ça, c'est de la fiche de malade, tellement que je sais pas si Bryn va avoir assez de neurones pour la lire... M'ENFIN ! heart
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Erza A. Oakenshield
Erza A. Oakenshield
☆ Inscription : 25/03/2013
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☆ Célébrité : Andrew Garfield.
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☆ Dispo : présent(e)
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☆ Crédits : avatar © goldcrest. • signature © tumblr.
☆ Réputation : 14
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☆ Études : 12th ; STAPS et MPI.
☆ Côté coeur : Aussi vide que le néant.
☆ Profil rp : J'vais au feeling.
☆ To do list :
Spoiler:

☆ Call me maybe : il était une fois un geek misanthrope, qui essaya de se sociabiliser en papotant avec des gens... en vain.
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MessageSujet: Re: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) EmptySam 4 Mai 2013 - 6:04

BIENVENUE PARMI NOUS What a Face
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Susan A. Bones
Warning : serial killeuse
au taquet la meuf !
Susan A. Bones
☆ Inscription : 05/03/2013
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☆ Réputation : 18
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☆ Âge : dix-huit ans.
☆ Études : 12th grade & danse classique
☆ Côté coeur : nothing.
☆ Profil rp : les deux ! Ça marche selon l'inspiration du moment.

en cours ; l'event,, Tori,, Erza,, Draco.
prévus ; Terry,,
☆ To do list :
Spoiler:

☆ Call me maybe : il était une fois un veaudelune des bois, qui se cherchait une fratrie à la tombée de la nuit pour dessiner des cercles concentriques sur une étendue désertique.
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MessageSujet: Re: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) EmptySam 4 Mai 2013 - 6:15

Déjà une fiche faite ? c'est du rapide ! Comme Bonnie j'vais aller lire ta fiche, ça m'occupera What a Face
bienvenuuuuuue ici et amuse-toi bien fifou
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Terry Boot
Mérite Rpgique
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Terry Boot
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ATTENTION ! JE SUIS ABSENTE JUSQU'AU 13 AOUT !
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☆ Côté coeur : côté quoi ?
☆ Profil rp : j'suis un bigorneau qui mute en léopard très souvent !
[2/5 rps libres]
♠️ Avec Eldrid, on aime les pelles, mais pas pour les raisons que vous croyez !
♦️ Bryn devient hyperactive
♣️ Quant à Elena ... Bah je sais toujours pas quoi penser.
♥️
+
☆ To do list :
i've got loads of things to do :

☆ Call me maybe : il était une fois un robot, qui cherchait des amis (ou pas) pour se faire huiler les articulations.

tu peux aussi m'appeler, ou bien mater mon blog ou encore twitter avec moi !
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MessageSujet: Re: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) EmptySam 4 Mai 2013 - 9:15

Et bien ! Le peu que j'ai lu de ta fiche me plaît beaucoup ! Alors j'te dis bienvenue chez nous ! ♥
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Draco L. Malefoy
ADMIN▲time to show, we run this shit
Draco L. Malefoy
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☆ Études : 11th grade (sciences po), club de natation.
☆ Côté coeur : ventricules, artères, veines, RAS de particulier.
☆ Profil rp : +tôt bigorneau, mais un bigorneau parfois sujet à des mutations génétiques aight.
☆ To do list : ☑️ pretend to be sick (invent an illness that sounds embarrassing and serious, or maybe an overdose? haha)
☐ Break up with a friend: “honey, it’s not you — it’s me”.
☐ Book a ticket to somewhere and fly off.
☐ Push for the creation of a sex phone club.
☐ Stay in bed all day.
☑️ Write a declaration of my genius.
☑️ Be rude to someone who pisses me off.
☐ Quit smoking/drinking/using drugs (ok.. i'll NEVER be ready for that).
☑️ Buy myself something totally lush, luxurious and useless.
☐ Take the bus... just to try.
☑️ Say no when someone asks for my help. Don’t explain.
☐ Challenge Blaise to bathe naked in the pool
☐ Speak only in Morrissey lyrics.
☑️ Crash a wedding.
☆ Call me maybe : il était une fois un veaudelune des bois, qui se cherchait une fratrie à la tombée de la nuit pour dessiner des cercles concentriques sur une étendue désertique.
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MessageSujet: Re: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) EmptySam 4 Mai 2013 - 12:13

Mec+L Team+présaremplie=combo gagnant yeah

c'est tout bon ça, t'as l'art et la manière de plaire aux gens quand tu débarques dis donc zinzin welc'home petit bichon maltais ! ça fait tout bizarre de voir que notre contexte peut attirer des non-adeptes de hp mais écoute, c'est plutôt flatteur hahaha. du coup si tu as fini ta fiche pense à nous prévenir ici pour qu'on soit sûrs que tu n'as pas d'autres modifs en tête. et si tu as un secret, aussi, n'hésite pas à nous en faire part : non seulement ça pimente le jeu mais en plus ça rapporte des points What a Face

amuse-toi bien parmi nous !
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Spencer Walters
Spencer Walters
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MessageSujet: Re: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) EmptySam 4 Mai 2013 - 13:06

Woaw, ça en fait du beau monde. Merci, votre accord est vraiment cool. huhu
Plutôt ancienne adeptes de HP, ça me convient mieux.
Et oui, fiche finie, je ne compte pas la modifier.
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Théodore R. Nott
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Théodore R. Nott
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☆ Call me maybe : il était une fois un veaudelune des bois, qui se cherchait une fratrie à la tombée de la nuit pour dessiner des cercles concentriques sur une étendue désertique.
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MessageSujet: Re: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) EmptySam 4 Mai 2013 - 13:42

ohhh, mais il est tropgnon ton perso potté il a un côté torturé et salaud à la fois mais j'ai surtout une image d'un salaud en couches-culottes, avec de petits poings et des paroles blessantes ; bref, ton perso est réellement très intéressant et l'évolution in rp promet, j'ai bien hâte de te lire. tu vas en trouver des amis, t'en fais pas, on a pas encore eu de personnage de ce type donc je pense que tu trouveras des gens avec qui le lier misterred (Bonnie, retiens toi, didiou !) en plus, ta fiche est très bien écrite, j'aime beaucoup ta plume ! heart



You did it !
彡t'es validé, moussaillon !
Alors alors, prêt à embarquer? Ramasse ton baluchon, assure-toi de n'avoir rien oublié : tu entames la traversée du pays des merveilles et c'est un voyage sans retour qu'on prévoit pour toi (sisi, rien qu'ça) kkk Mais avant de te lancer corps et âme dans l'aventure il va te falloir franchir encore quelques étapes. Rien d'énorme, tu verras !

Commence par aller te référencer pour nous aider à faire le tri. Ensuite, il te faudra demander un dortoir si tu es interne : les Poudlardiens ne crèchent pas sous les ponts, ça non ! Enfin, va faire officiellement ta demande d'adhésion à un club ou à une asso' petit chenapan, tu vas quand même pas y participer au noir hein. Enfin, tu pourras partir en quête de potos et prévoir de jeter l'ancre à quelques ports, tu trouveras sûrement des gens cool avec qui t'amuser. Du coup, garde la pêche en prenant soin de ton réseau social : les blogs te permettront de garder un oeil sur les news de l'école, et rien ne vaut un cellulaire pour papoter pénard, même à distance (ou avec ton voisin hein, chacun son trip après tout). Si tu veux personnaliser ton profil, n'hésite pas à passer par la case des demandes de rang.

Et avec tout ça, pense à te glisser dans la zone flood, c'est bon pour le moral ! Allez, à ton clavier et surtout, bon jeu hihi

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Spencer Walters
Spencer Walters
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MessageSujet: Re: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) EmptySam 4 Mai 2013 - 13:44

Merci. huhu
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Elena V. Dior
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☆ Call me maybe : il était une fois une blanche neige sans foi ni loi, qui cherchait ses nains complices pour la vie, afin de danser de ses pas excentriques sur nos futures tombes squelettiques.
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MessageSujet: Re: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) EmptySam 4 Mai 2013 - 15:36

KEUKOU salade de betterave !
Tu as tout l'air d'être ce que Eleva fuit, abhorre ! Ou résumons tout ces jolies adjectifs par une seule phrase : TU LUI AS L'AIR TRES SYMPATHIQUE !
J'ai bien aimé le début de ton histouare heart C'est beau, sous la pluie potté et ton parapluie hm
Han, une élite littéraire ? Tu pourras conséiller l'élite dépravée que je suis angel
Bienvenue ! huhu
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Eldrid D. Andersen
Eldrid D. Andersen
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☆ Surnom(s) : Ed Wood, Ed, Iddy
☆ Dispo : présent(e)
☆ Blaze : Dieu.
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☆ Réputation : 22
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☆ Études : 11th grade | Maths Appliquées & Langues Etrangères | Echecs & RUGBY. HANWAI.
☆ Côté coeur : Quetzalcoatl l'a mangé.
☆ Profil rp : genre, bigorneau qui sort les strings léopard pour les grandes occaz' quoi. Tu peux pas test.
COME WITH MAMA PONY. | 3 RPs max en même temps.
Avec le bridé | Avec l'alien | Avec supergeek. | Avec J'adore | Avec Sue
+ l'event, of course.
☆ To do list :
Spoiler:

☆ Call me maybe : on s'est souvent coltiné l'histoire du petit poney, mais l'nôtre avait choisi de chercher des keupins dans la pampa soi-disant pour aller fumer des joints et boire de la bière, mais il paraitrait qu'il en profite pour câliner des ours blancs. LA TEHON QUOI.
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MessageSujet: Re: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) EmptySam 4 Mai 2013 - 16:19

Euké j'arrive avec trois plombes de retard, mais bienvenue quand même petit poney ~ ♥
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Spencer Walters
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MessageSujet: Re: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) EmptySam 4 Mai 2013 - 16:55

Eh bah merci.
Je trouve que le début est le plus beau. What a Face
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MessageSujet: Re: Nuit noire (SPENCER)   Nuit noire (SPENCER) Empty

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