Mes plaisirs me guident, et dans l’unique chemin qui m’est tracé, il y avait cette fille, cette blondie, qui me regardait, elle riait de ce que j’étais, je ne sais si elle souriait aussi d’admiration, pourtant ses yeux criaient la délivrance quand je l’accompagnais. Ironie du destin, je délivrai quelqu’un par mon être,  alors que lui-même me brûlait peu à peu sous le couché de soleil, d'une fin qui ne s’annonçait que tragique.  

Il y a des soirées, ou parmi ces prétendus amis que l’on côtoie qu’une simple nuit. On en rencontre des plus fidèles, toutes ces nuits, et Dieu sait si avec l’alcool et la bière, ils nous aident à voler de nos propres ailes. Je drague, elle drague, on s’amuse, on boit. Et même si ça ne commence que la nuit, pouvoir sourire et rire quelques heures chacune de ces nuits, cela suffit, même si le lendemain, on tuerait pour revenir à nos joyeusetés d’hier.

Quand je veux un brownie, je sais toujours où aller ! Mais pas n’importe comment ! D’abord, je la cherche dans le frigo, elle n’y est jamais ! Je la cherche dans tout Poudlard, souvent je la croise, parfois elle est dehors ! Mais toujours, je finis par la trouver. Je l’emmène avec moi dans un lit, on rigole, on sourit. Elle allume son briquet, on se raconte nos journées, en oubliant vite les secrets à dévoiler qui ont servi de prétexte pour s’exiler. Je mange mes brownies avec elle, et avec Bonnie, on se fait toujours choper par les propriétaires des lieux, sous le lit. On manque de cramer les draps, mais ayant finit mes brownies, il me reste mon brownie préférer, pour m’enfuir, courir, et rire  tout le long de la nuit, sans ne jamais tenter de la croquer, car que ferai-je sans le brownie auquel je me confie ?    

J’agace par mes plaisirs égoïstes, tu agaces par tes chants angéliques. Nous ne laissons pas indifférents, ni même pour l’une et l’autre. Nos rires nous rapprochent. J’écoute tes confidences comme les chansons que tu me chantes.   Quand on est ensemble, c’est notre amitié contre le monde. Personne fait chavirer nos êtres, nous restons tels que nous sommes, à travers la fête et les larmes, et même jusqu'aux enfers, nos sourires resteront à jamais complices.

On se promène, le vent dans les cheveux, un trottoir, jour innocent. On rencontre un homme qui fait de la guitare plus loin, on s'arrête, on sourit. BAM ! on prend tout à coup sa guitare, tellement à fond dans sa musique, dansant, puis on rêve de la foutre par terre comme les plus grandes star du rock ! Manque de bol ! On y arrive jamais ! L'homme et ses gros biscoto nous y empêche ! s'en suit une relation ! J'essaye de te piquer ! Tu me piques plus fort ! T'as l'air de le prendre bien, je t'invite chez moi ! T'adores les ordis ?! quel coïncidence ! J'ai une épave just for you ! Qu'en dis tu ? tu me la répares ! apparemment tu adores ça ! Le lendemain, je me retrouve avec du harlem shake à chaque fois que je lance google chrome ! du hard rock à chaque fois que je lance Firefox ! Grrr ! L'entourage a peur et me demande si je me suis convertie en gothique ?! Je leur réponds que ça réveil mon côté sauvage ! Fuyante ! Je me renseigne sur le jeune homme ! Et je dépose la veille une jolie tête de cochon sur sa paillasse de porte pour lui montrer toute ma gratitude d'avoir réparé mon ordis ! Bienvenue dans une relation terrible, les enfants terribles ! Aimable en apparence, Gargamel par derrière, toujours pour faire des mauvais coups !

Danser, rigoler, casser, hurler, se soûler, rêver, tomber... Bienvenue dans une complicité qui se rêvait parfaite, mais dont les chutes dévoilaient qu'elle était totalement imparfaite. Pourtant, tout commençait bien, nous nous entendions bien. Tout allait pour le mieux, nous étions les meilleurs amis du monde. Mais, symbole de notre société, nous voulions toujours plus, jusqu'à même forcer les portes de l'amour. Malheureusement, en ouvrant la porte, quelques pas main dans la main, nous suffirent pour tomber ensemble, tout droit dans les enfers.
Cet amour nous a exilé des autres, et nous a enfermé dans les caves les plus ennuyeuses, oubliées de l'humanité. Je forçais la porte, je m'en allais, je ne voulais pas d'une vie bercée de mots d'amour par morphée. Je ne pouvais pas vivre sans changement, sans action. Ce n'était pas moi. Je rigolais beaucoup moins qu'avant avec Théo, malgré sa sincérité et son amour, ce n'était pas suffisant.
Le lendemain, je revenais, puis on se disputait, et nous creusions nos propres tombes dont les roses, que nous étions, avaient pour épines nos propres conflits.
Je pars, je reviens, et le chaos ne s'arrêtait pas. Les flammes de l'enfer se faisaient de plus en plus brûlantes. Il fallait s'y faire, nous ne retrouverions probablement plus cette passion éphémère de si tôt.
Je tuerai pour retrouver le goût de son amour, de cette complicité, et c'est ainsi que j'exprimai ma violence. J'ai quitter l'enfer pour en retrouver un autre. Je te lançais des bières, tu me hurlais dessus et me poursuivais, tout n'était que flamme autour de nous. Je m'enfermai dans la salle de bain en fermant la porte derrière moi, et je t'entendais crier et m'insulter derrière la porte. Ce n'est que quelques heures après, tout deux avachi à l'opposé, dos à dos contre la porte, que nous mettions un terme à nos disputes par un sourire. On se trouvait tellement stupides, et à ce moment précis, nos sourires nous emmenèrent dans nos souvenirs peints de rires et de passions, la belle époque. Je finis par me relever, j'ouvris la porte et je le pris dans mes bras. Prisonniers de nos passés, on redevenait amis, et cette fois, malade de nos soifs de toujours plus de bonheur, nous tombions une fois de plus dans un leurre. L'amour, C'était si beau, jusqu'à ce que la vie de couple m'ennuyait de nouveau. Tout faire encore à deux, ne vivre qu'à deux, ne pas pouvoir être à la fois libre comme l'air et ressentir la passion d'un homme. Vouloir le beurre et l'argent du beurre. Je pouvais sourire et l'embrasser tant que je voulais, je savais que les flammes allaient revenir, et tout allait recommencer, sans jamais s'arrêter. Et même si elles finiraient par me brûler, c'était ma seule façon de pouvoir profiter, d'un amour rêveur, d'une liberté, qui trop loin sans l'un ou l'autre, me ferait sombrer.

Spencer, je t’aime à ma manière, je t’aime pour t’embêter, je t’aime pour te dévergonder. Tu es une de ces âmes qui brillent d’une clarté les plus pures. Car tu n’es pas au bord du gouffre Spencer. Personne ne te remarque, personne ne t’envie. Au pays des aveugles, Elena ne l’est pas. Je t’ai trouvé. Tu peux me détester, me maudire, me haïr. Je ne t’en voudrai pas. Car au fond, je t’envie Spencer, je vois en toi celle que j’étais avant. J’aimerai tant revenir à cette innocence, à cette époque ou je ne me laissais guider que par ma curiosité, par ce chemin qui ne laissait voir que l’avenir d’un soleil d’été. Jusqu’à ce que l’ennui a enfouit cette personne dans un terrible hiver de ma vie.

Boys, just do it!----Tell her you think shes cool. Tell her why you think shes so cool. Smell her hair. Talk to her in movie theatres. Pick her up and pretend youre going to throw her in the river; shell scream and fight you but secretly, shell love it. Hold her hand and skip. Hold her hand and run. Just hold her hand. Pick flowers from other peoples gardens and give them to her. Tell her she looks pretty. Let her pay for stuff if she wants to. Introduce her to your friends as The coolest girl I know. Sit in the park and talk to her. Take her to the library, and playgrounds, and train stations. Tell her dirty jokes. Tell her stupid jokes. Write poems about her. Just walk around with her. Throw pebbles at her window at night. When she starts swearing at you, tell her you love her. Take her to shows of bands shes never heard of. Hold her hand in the mosh pit. Let her fall asleep in your arms. Call her. Call her back if she calls you. Sing to her, no matter how bad you are. Carve your names into a tree. Get her mad, then kiss her. Give her piggy-back rides. Go see her band play even if they really suck, and tell her they were great. Give her space if she needs it. Push her on swings. Stay up with her all night when shes sick. Make up pet names for her, but cool ones, not sappy ones. Teach her guitar. Lend her your cds. Write on her. Make her mixtapes. Write her letters. If she asks you to go to a show with her, go, even if it means a 5 hour train trip. Take her to cool shops, and let her take you to even cooler ones. Listen to all the bands she mentions. Dont tell her that her favorite bands suck. When shes sad, hang out with her or stay on the phone with her, even if shes not saying anything. Buy her ice cream. Let her take all the photos of you she wants. Look into her eyes. Slow dance with her, even if the music is fast. Kiss her in the rain.When you fall in love with her, tell her.