Astoria est un diamant brut à elle seule. Une pierre fragile qu'il faut savoir manipuler avec précaution. Autant énigmatique que passionnante, volcanique que posée, elle en déroute plus d'un par son caractère insaisissable. Des Greengrass, la cadette est certainement la plus douce, la plus passionnée. Opposé total de son aînée, ignorée d'elle depuis son plus jeune âge du fait de sa soi-disant "normalité", Tori a cependant elle-aussi tout un tas de choses à offrir au monde. Elle incarnerait à elle seule les plus belles œuvres théâtrales tant sa personnalité édulcorée est riche en émotions. Contrairement à Daphné, Tori est en effet très extravertie et lunatique, passant alors du rire aux larmes, des éclats de colère aux éclats de joie en quelques instants seulement. C'est une personne qui vit intensément chaque instant comme si elle était l'héroïne d'une aventure extraordinaire. Astoria est également la gentillesse incarnée, malgré son petit caractère bien forgé. Elle est extrêmement dévouée aux autres et recherche sans cesse l'excellence afin de plaire et de s'attirer la reconnaisse d'autrui. Quand on lui accorde un minimum d'intérêt, la belle est en effet capable de déplacer des montagnes pour plaire aux gens et les rendre fiers d'elle, surtout concernant sa famille, ses parents. N'étant pas une deuxième enfant prodige chez les Greengrass, elle cherche certainement elle aussi à briller autant que sa soeur. Pourtant ce n'est pas une compétition, simplement un désir d'être l'espace d'un instant quelqu'un d'important, d'admiré elle-aussi, ne plus être dans l'ombre des autres. Ainsi la majeure partie des choses qu'elle entreprend sont plus pour satisfaire les autres qu'elle-même, elle a tout le temps besoin de prouver de quoi elle est capable. Ceci développe également chez la jeune femme une grande générosité, mais malheureusement un certain manque de confiance en elle aussi, certainement dû à son ainée qui n'a de cesse de la rabaisser devant elle. Et pourtant, Astoria est une demoiselle tout ce qu'il y a de plus brillant, elle est loin d'être une idiote, elle peut être exceptionnelle elle aussi il suffit juste qu'on lui donne sa chance et qu'on lui fasse un peu confiance, parce que poussée par les autres ou par un but qu'elle cherche à atteindre, elle devient extraordinaire et fait de grandes choses. La jeune femme est un mélange curieux de contradictions avec les nombreuses facettes de son caractère. Bien qu'elle n'égalera jamais sa soeur niveau mesquinerie, une Tori en colère sait tout aussi bien être redoutable, elle est impulsive et gère mal ses émotions contrairement à Daphné qui intériorise beaucoup et possède un parfait contrôle d'elle même. Tori est par ailleurs une personne de parole, elle est toujours loyale envers les siens, mais elle ne supporte pas le moins du monde la trahison, le mensonge, ainsi elle est également très rancunière et a du mal à pardonner. Autre chose qu'elle ne supporte guère, l'échec. Depuis quelques temps, la belle s'est trouvé une passion pour la danse classique, chose qui lui plait énormément et qui est désormais presque sa raison de vivre. Mais ce n'est pas seulement cela, en plus d'être amoureuse de cet art, elle possède un talent inné, qui rendrait sa soeur verte si elle la voyait sur scène. La voilà la vérité, alors que Gaby est l'intellectuelle, Tori est l'âme artiste de la famille, c'est là qu'est sa voie, son côté prodige. Astoria a tout d'une étoile en devenir, elle représente à merveille la grâce, la légèreté, la sensibilité et la perfection des plus grandes danseuses. Elle aime danser, c'est une certitude. Bien plus qu'une passion, c'est devenu un état d'esprit, toute sa vie en fait. Le problème avec Tori, c'est qu'elle ne fait jamais les choses à moitié, et lorsqu'elle se lance à corps perdu dans quelque chose, c'est toujours avec passion et ténacité. La demoiselle est ambitieuse, persévérante et très perfectionniste, elle est très dure avec elle-même, et bien que ça pourrait être perçu comme une qualité, son entêtement fini par devenir néfaste. Ainsi est le problème de Tori, son incapacité totale à se contrôler, à trouver un juste milieu, chez elle tout est excès, elle vit dans les extrêmes et la danse n'y échappe pas. Bien au contraire c'est une passion à double tranchant, assez malsaine comme elle en abuse. Au premier abord elle semble aussi légère et fragile qu'un papillon, mais paradoxalement, une fois dans ses pointes, elle est incroyablement forte et agile. Son mental aussi parait indestructible, tant son optimiste et son obstination la poussent à se battre. De plus, c'est la moindre des choses pour repousser les plus grandes limites.

☆ histoire :


Astoria Greengrass a vu le jour un 26 février 1997 par une belle soirée d'hiver enneigée dans la charmante capitale anglaise qu'est Londres. Fille cadette de parents respectivement avocat et organisatrice de réceptions, la petite n'a jamais manqué de rien, et a vécu une enfance relativement luxueuse. Son merveilleux visage de poupée effarouchée au teint de porcelaine tient trait pour trait de sa maternelle avec ses somptueux cheveux bruns, mais surtout ses yeux d'un bleu océan dans lesquels bien des âmes ont fini par se perdre dans la contemplation de tels saphirs ; niveau caractère en revanche c'est un peu plus complexe. Bien qu'elle ait sans nul doute hérité de l'obstination et de l'impatience de son père, ainsi que de l'émotivité et de la douceur de sa mère ; Tori possède néanmoins sa propre personnalité bien à elle, tandis que Daphné, son ainée, ressemble en tout point à leurs parents. Ainsi, la belle Astoria a toujours été la plus passionnée des deux soeurs, celle qui se jette corps et âme dans ce qu'elle entreprend, qui est très réceptive à l'artistique, et laisse vivre ses émotions, la rendant si touchante et attendrissante dans bien des domaines contrairement à l'apparence de parfaite Lady et au visage de marbre que laissent paraitre Gaby aux yeux de tous. Dès leur enfance, elles ne se sont jamais vraiment bien entendues, en réalité elles ne se sont jamais vraiment bien comprises ni parlées. C'est regrettable à dire, mais l'ainée l'a tout simplement ignorée royalement depuis sa naissance, et Tori, lasse de vouloir se faire remarquer a fini par abandonner. Elle ne partage donc pour ainsi dire rien avec sa soeur, et ce n'est pas faute d'avoir essayer pourtant. Ce fut étrange d'ailleurs de vivre quotidiennement avec une personne si étrangère, qu'on fréquente cependant tous les jours. Elle ne lui en veut même pas, elle ne la voit pas non plus comme une rivale bien qu'elle soit toujours la numéro 2 dans l'ombre, simplement elle ne la comprend pas. Ni elle, ni son comportement, ni cette attitude déroutante qu'elle adopte envers les autres qui fait d'elle une jeune femme admirée, cachant par derrière une grande manipulatrice ; deux parfaites opposées donc. Malgré cela, Astoria eut une enfance relativement heureuse et, sans être surdouée, n'en déplaise, elle était studieuse et s'en sortait avec de bons résultats, mais ceux-ci n'étaient que le fruit de son travail et de son obstination à ne rien lâcher, et non à de quelconques facilités contrairement à Daphné. Cette force et cette ténacité, la belle brune le doit certainement à son père, riche avocat qui a su faire ses preuves et construire un empire, avouez que ça force le respect. Mais finalement c'est de sa mère que la demoiselle est proche depuis toujours. Son univers lui parle, son grain de folie lui parle. Petite, elle adorait aller avec elle sur les lieux où les plus beaux mariages se préparaient activement. Les salles et les décors étaient somptueux, crées de toute pièce par des mains de fée plus talentueuses les unes que les autres, mais sortant tout droit du génie maternel. C'est peut-être ceci qui a fait d'elle cette jeune femme sensible, parfois très fragile et émotive, baignant dans ce monde de princesses en robes immaculées dignes des plus grands contes de fée. Chose que sa soeur n'a jamais vraiment partagé avec leur mère, beaucoup plus sur les talons de leur géniteur. Et puis, elle grandit comme tout enfant, mais elle conserva dans ses yeux cette magie des belles choses, du spectacle. La brune suivit donc scrupuleusement le chemin que ses parents semblaient avoir tout tracé dans des écoles plus prestigieuses les unes que les autres. Cependant, lorsqu'elle avait à peine 13 ans, une rencontre la bouleversa pour changer sa vie du tout au tout. A la fin d'une de ces journées des plus banales, alors qu'elle rentrait tranquillement, une mélodieuse musique qu'elle avait déjà entendu vint titiller son oreille attentive au détour d'un couloir. Guidée alors par sa seule ouïe, elle entreprit de remonter jusqu'au curieux spectacle qui semblait se dérouler non loin. C'est ainsi qu'elle l'aperçut, si gracieuse, si belle, si précise et légère à la fois ; telle un ange, elle volait. C'est ainsi qu'elle eut sa révélation pour la danse classique et qu'elle rencontra Susan. Sans perdre de temps, elle se lança alors dans la grande aventure du ballet, mais la route était longue et dure pour parvenir à la réussite, à la perfection. Il fallait savoir souffrir, apprendre à faire des concessions, le monde de la danse était cruel et la belle ballerine le savait. Mais voilà, peu lui importait le prix à payer tant elle espérait toucher son rêve. Susan, quant à elle, était en quelque sorte sa muse, son modèle, celle vers qui elle se tournait en cas de besoin, pour des conseils ou autre. Et avoir un modèle ne faisait que la motiver davantage, elle était plus déterminée que jamais, et autant vous dire que quand Tori veut quelque chose, elle l'obtient. La belle travailla ainsi sans relâche jusqu'à épuisement, mais ce n'était rien parce qu'elle progressait de jour en jour alors la fatigue et la douleur valaient bien tout ces progrès. Autant vous dire qu'il en faut du courage et de l'obstination pour réussir, mais elle s'accrochait, c'était une enragée. Le plus dur pour la jeune ballerine fut les pointes. Exercice d'excellence qui demande des années d'entrainement pour être réalisé à la perfection, parce que figurez-vous que faire tenir entièrement le poids de son corps sur ses orteils n'est pas chose aisée, loin de là, c'est même contre nature en fait, le pied humain n'y est pas adapté, pas formé pour une telle chose, d'où la difficulté de l'exercice. Ainsi donc elle finissait la plupart de ses journées dans d'atroces douleurs, les pieds recouverts de sang. Pour beaucoup, c'était signe de folie, d'excès, mais pour elle c'était signe de réussite, de progrès. Et au fur et à mesure, à force de sacrifices, ses efforts ont payé. Astoria s'est révélée être une talentueuse danseuse, aussi gracieuse et parfaite dans ses mouvements que belle et expressive dans son interprétation. Car voilà une des choses innées qu'avait la jeune femme, sa facilité déconcertante à s'exprimer par sa gestuelle, à montrer ce qu'elle ressentait et le faire partager de la façon la plus poétique qui soit par la danse. C'était instinctif chez elle, Tori n'avait pas besoin de jouer les actrices de théâtres, elle avait toujours été ainsi, très expressive, très touchante et extravertie avec ses émotions. Ainsi elle aussi avait quelque chose à apprendre, à faire découvrir aux autres. Car même si elle devait encore travailler pour perfectionner davantage sa technique, son interprétation était en revanche des plus magiques, elle savait si bien donner vie à la chorégraphie, à l'histoire qu'elle interprétait contrairement à d'autres qui sont cependant irréprochables techniquement. Après tout c'est ça la danse, pas seulement l'exécuter, mais surtout la vivre pleinement. Néanmoins, cette passion s’avérait relativement malsaine et l'avait beaucoup changée. Pas psychologiquement non, mais plutôt physiquement. Outre les nombreuses blessures qu'elle infligeait à son corps par ses très - trop - longues heures d'entrainement et ainsi les nombreuses séances de kiné qu'il lui fallait, Astoria semblait avoir trouvé beaucoup plus dangereux pour mettre sa santé en jeu. Susan et bien d'autres danseuses n'avaient de cesse de lui répéter l'importance d'une alimentation saine et équilibrer pour être en parfaite harmonie avec son corps et son esprit, ne faire qu'un. En réalité, à défaut d'être équilibrée, l'alimentation était surtout privative. Mais Tori, embrigadée par les autres ne réalisait guère le danger et ne s'en inquiétait pas plus, même si certains de ses amis le faisaient pour elle. Et bientôt son poids était un détail capital. Elle ne devait impérativement pas prendre un gramme, les mensurations références étant très strictes là dessus, pour avoir un jour la chance de rentrer dans un tutu et interpréter un grand rôle. La brunette se plia ainsi à toutes ces nombreuses exigences, mais bien vite elle en venait à faire des malaises, la fatigue se faisait plus sentir, son corps hurlait intérieurement violenté par tant de carences, mais elle n'avait que faire de l'écouter. Alors elle carburait toute la journée aux boissons énergisantes et barres céréales pour tenir bon et se donner l'impression que ça suffirait à l'éloigner de l'anorexie qui la menaçait dangereusement. Repousser les limites de son corps, encaisser, le forcer à aller au delà de ce qu'il est capable de faire en lui imposant les chorégraphies les plus dures, et supporter tout cela comme si de rien n'était derrière le beau masque d'un sourire illusoire, telle est la dure réalité et l'envers du décor des précieux ballets. C'est pourquoi, comme toute danseuse, Tori est admirable en tout point par le fait qu'elle soit si fragile et incroyablement forte à la fois. Son corps telle à une plume ne représente rien, pourtant elle a cette capacité et cet acharnement à pouvoir danser des heures et des heures d'affiler sans pause, enchainant alors les pas les plus difficiles, sans se plaindre, toujours avec le sourire, donnant cette impression de facilité déroutante, alors que la douleur se fait brûlante dans ses pointes. Mais bientôt à force d'efforts, la chance lui sourit. Durant son 9ème grade, une opportunité unique se présenta à elle lorsqu'une des filles du cours de danse appartenant aux Poufsouffle se blessa, entrainant ainsi une grande gène numérique au sein de l'équipe. La belle se proposa alors pour la remplacer et travailler d'arrache-pied nuit et jour, sans relâche et ce jusqu'à littéralement en tomber par terre, afin de réussir les auditions. Émerveillée par sa prestation, son professeur a parlé de la jeune femme à Madame Maxime, enseignant le ballet au sein du club du lycée. Astoria fut donc prise à l'essai, et comme une bonne nouvelle n'arrive pas seule, son amie et modèle Susan se blessa lors d'un entrainement, rendant alors impossible sa prestation dans le mythique Lac des Cygnes, oeuvre reine des ballets classiques, dans lequel elle occupait un rôle important. Astoria s'est montrée une nouvelle fois époustouflante lors des auditions, s'étant une fois de plus surpassée aux entrainements, et décrochant alors avec grand mérite le rôle que s'était vu accordé Susan. Les entrainements avec cette nouvelle enseignante se voulait atrocement exigent et douloureux, et l’incitait à donner encore plus d'elle-même, à soumettre son corps à toutes ses attentes, atteignant par la même le paroxysme de la souffrance, dur prix à payer en compensation de l’excellence du talent. Cependant, son idyllique vie fut de courte durée, puisque la soir de la représentation, tout ne se passa pas comme prévu, loin de là. Cependant, la belle était parfaitement prête, surentrainée, techniquement et artistiquement irréprochable. Maquillée telle un ange, portant sur elle le plus beau des costumes qu'elle ait pu porter dans sa vie. Il n'y avait décidément que son stress, que la belle avait toujours eu bien du mal à gérer, pour venir gâcher un tel moment. Pourtant, elle ne croyait pas si bien dire, et finalement ce qu'on lui fit fut bien pire. Quelqu'un avait osé mettre une punaise dans sa pointe gauche, et Tori ne s'en aperçut qu'avec la douleur affreuse qu'elle ressentit en enfilant son chausson. Cependant, il était trop tard, elle était enfoncée et bien enfoncée. Elle n'eut malheureusement pas le temps de délacer toute sa pointe et de retirer l'intrusive ennemie, ce qui l'aurait grandement arrangée. Mais Madame Maxime les pressait tous sur scène, le spectacle allait commencer dans les secondes qui suivirent, tant pis elle allait devoir faire avec. La demoiselle ne pouvait pas se permettre de dire quoi que ça soit et de les mettre dans l'embarras avec une danseuse en moins, et puis elle voulait danser, alors elle se convainc qu'au fond, elle avait sûrement vécu pire. Autant vous dire que les secondes, les minutes qui suivirent les premières notes de musique furent d'une barbarie sans nom. Mais fidèle à elle-même, à son incroyable force qu’elle puisait d'on ne sait trop où, de son tempérament de battante, Astoria réalisa une merveilleuse prestation des plus parfaites pendant tout le début du premier acte, affichant le plus lumineux des sourire devant une salle émerveillée face à sa grâce, sa légèreté, sa finesse. Appuyant de façon normale et cadencée sur ses pieds, comme à son habitude, elle se mordait l'intérieur des joues pour ne pas en pleurer sentant alors son pied s'anesthésier de douleur un peu plus à chaque seconde. Seules les pointes faisaient office de répit, mais tout le monde sait qu'elles ne durent guère longtemps. C'est ainsi que lors de l'entracte, c'est une Astoria blanche comme un linge qui perdit toute notion de la réalité et rejoignit les abimes quelques temps en s'effondrant de tout son long sur les planches, sa pointe gauche rouge écarlate de sang en prime. Elle reprit connaissance à l’infirmerie, revenant peu à peu à cette dure réalité. Et autant vous dire qu'elle a rarement reçu une correction pareille. Madame Maxime s'est montrée dure et furieuse face à ce comportement immature, irréfléchi et dangereux, même s'il partait d'une bonne intention. La belle fut naturellement tenue pour responsable du scandale et de la catastrophe de la prestation et, bien qu'elle ne fut pas renvoyée du club, elle se retrouva au plus bas de l'échelle ayant à nouveau ses preuves à faire et bien entendu ne pouvant intégrer les Poufsouffle, se contentant alors de la L team. Tori continue cependant de s'entrainer jour et nuit sans relâche dans sa belle salle aux miroirs comme si une audition pour le rôle d'Odette en personne l'attendait du jour eu lendemain. Malgré cela, elle ne perd jamais son optimisme à toute épreuve et sa grande ambition, un jour sa chance reviendra, elle en est persuadée, il lui suffit juste de se battre encore et encore, de n'avoir de cesse de s'améliorer, et sauter sur la première opportunité qui se présentera. Jamais elle n'abandonnera sa passion ni ses rêves, son but ultime étant de remonter sur les planches, et comme toute danseuse, d'interpréter le rôle principal du chef d'oeuvre classique qu'est le Lac des Cygnes, rêvant ainsi un jour de se voir nommer étoile comme les plus grandes.

☆ admission : Son entrée à Poudlard, elle la doit bien entendu à la réputation de ses richissimes parents, mais aussi et surtout à ses bons résultats qui lui permettaient amplement d'intégrer l'école, sans qu'elle soit une enfant prodige comme Gaby. Malheureusement, suite à un tragique incident au cours d'un ballet, elle se voit rejoindre la L team, n'ayant guère autre choix. Néanmoins elle n'en n'a pas honte, parce qu'elle y connait des personnes très sympathiques qu'elle apprécie, et puis elle espère bien un jour rejoindre les Poufsouffle.