☆ histoire :

« Hey, toi. Comment ça, tu ne me connais pas? Je te dis vraiment rien? Rattrapons cette terrible erreur, mon gars. Je m'appelle Anthony Goldstein. Plus connu sous le nom de Tony. Ou Casanova. Ah, bah tu vois! J'la vois cette petit exclamation sur ton visage, j'l'ai entendu ce petit hoquet venant de ta bouche! Tu vois à peu près qui je suis, suffisait de faire un petit effort. Trève de bavardage, rentrons dans le vif du sujet. T'es un homme à l'orgueil bafoué par une de ces donzelles sans pitié? T'as envie de la voir mordre la poussière? Bah regarde cette vidéo jusqu'au bout, tu l'regretteras pas. »

« Anthony. » « Perseo. » « Anthony. » « Perseo. » Graziella tenait au creux de ses bras l'objet de cette querelle entre elle et son époux. Son petit bout de garçon. Italienne pure souche au caractère bien trempé, elle faisait face à son homme sans sourciller même s'il la dépassait bien d'une tête, dégageait quelque chose de si puissant qu'Hans Goldstein préféra reprendre l'histoire calmement, l'invitant à s'asseoir. « Écoute ma chérie, on ne va pas se disputer pour quelque chose d'aussi futile que le prénom de notre enfant. Si on lui met Anthony en premier prénom, on pourra toujours.. » Elle le coupa d'une fusillade du regard. « JE l'ai gardé dans mon ventre pendant neuf mois et J'AI accouché. Donc JE décide de son prénom. Ce sera Perseo. » Hans poussa un long soupir. Dieu qu'il était amoureux de sa femme mais Dieu qu'elle pouvait être chiante. Cela dit, un sourire nostalgique illumina discrètement son visage alors qu'il repensait au jour où il avait rencontré cette sulfureuse femme au charme fou. Tous ses potes bavaient dessus et IL l'avait finalement eue..! « Et puis je te rappelle que JE t'ai rejoint à Berlin et que JE t'ai suivi en Angleterre. Tu me dois bien ça. » Aïe. Elle marquait des points. C'était vrai qu'elle avait quitté sa Sicile adorée pour lui, et qu'après sa mutation en Grande-Bretagne, elle avait plié bagages à ses côtés, son bébé à peine né. Cela dit, il était hors de question de lâcher l'affaire. Son honneur d'Allemand était en jeu. Des affrontements d'orgueils. C'était toujours comme ça, entre eux. Deux semaines que le nouveau né n'avait pas de prénom fixe. « Chérie, si son diminutif devient Tony, ça sonnera déjà Italien.. » Graziella fixa son mari d'un œil faussement dédaigneux, puis son regard s'orienta vers le fruit de ses entrailles. « Ne t'en fais pas Perseo, Maman ne le laissera pas faire. » « Je te propose un marché. On l'appelle Anthony, mais libre à toi de l'appeler Perseo si tu préfères, et je te donne trois jokers que tu pourras utiliser à ta guise. » L'attention de la belle fut instantanément captée. Un rictus malicieux étira ses lèvres, elle pesa le pour et le contre dans sa tête. Trois jokers à utiliser quand elle le voudrait? C'était intéressant. « Di accordo. » Une poignée de main plus tard était enfin baptisé le plus con beau des garçons de sa génération. Enfin, ça, c'est ce que la famille pensait. Et l'intéressé également, en passant.

« Tu vois le moche là, juste à côté de moi (il tire un garçon par la manche pour qu'il apparaisse à l'écran)? Comme je l'ai dit, il est vraiment laid, il est trop con, il sert à rien (un "va te faire foutre Anthony" raisonne), mais bon, c'est quand même mon meilleur ami, donc il est dans le secret lui aussi. J'vous présente le fameux Eddie Carmichael! »

« Perseo, descends s'il te plaît, viens accueillir les nouveaux voisins! » Anthony avait toujours été un gentil garçon. Un peu no-life sur les bords, mais vraiment adorable avec ses parents. Hans et Graziella l'aimaient et lui prouvaient mais n'hésitaient pas à le cadrer lorsqu'il le fallait. En somme, il avait une vie plutôt banale, toutefois saine et heureuse en dépit du fait qu'il était fils unique. « ANTHONY. TU DESCENDS DE SUITE. » La voix ferme de sa mère "l'effraya" un peu, beaucoup, si bien qu'il lâcha son clavier d'ordinateur ainsi que son casque après avoir tiré une grimace douloureuse. Putain, il n'avait pas eu le temps de sauvegarder quoi! Déçu, il se rendit au salon atterré et découvrit avec horreur lesdits nouveaux voisin. Enfin plutôt, il découvrit avec horreur le fils de ses nouveaux voisins. Graziella poussa Tony vers la famille qui semblait être un reflet de la sienne; un père, une mère, un garçon, tous à l'allure aisée. La seule différence était que le garçon, ben.. WTF il avait trop la classe. Si Anthony le fixa d'abord d'un œil mauvais, c'était, il fallait l'admettre, un peu de jalousie. Cela dit, le jeunot était bien éduqué et il les salua un par un dans les règles de l'art. « Anthony, fais visiter la maison à Eddie, tu veux? » Eddie. C'était ça, le prénom de ce sale mioche aux grands airs?! Un voile de résignation s'abattit sur le visage de Goldstein Jr. et il s'exécuta, indiquant à son invité de le suivre. Quand ils furent seuls, leur conversation partit à base de sarcasme, de piques amères, de cynisme et de rabaissements. Si Tony chambrait Eddie sur son intelligence qu'il déduisait minime (après tout, Eddie ne pouvait pas être beau gosse et en avoir dans le crâne à la fois..), Eddie chambrait Tony sur son physique. Il n'en avait peut-être pas l'air, le petit Tony, mais il avait de la répartie. Et paradoxalement.. Les deux s'amusaient (bizarrement, j'en conviens). Du coup, au moment de partir, c'est avec à la fois malice et mépris qu'ils se quittèrent. Puis ils se recroisèrent dans un magasin de fringues, où ils s'échangèrent à nouveau des joutes verbales piquantes. Enfin, proximité de leur famille respective obligeait, ils se côtoyèrent tous les jours jusqu'à devenir inséparables. Un duo certes improbable, mais absolument détonnant. Dès lors, le quartier d'origine si calme et paisible devint pour eux un terrain de jeux géant qu'ils retournèrent à leur sauce. Voilà. Tony l'enfant unique avait trouvé le frère qui lui manquait.

« Si vous voulez nous voir en chair et en os un de ces quatre, v'nez nous faire un petit coucou chez les number one, les noumero ouno, les meilleurs, ceux qui vous mettent à genoux et ceux qui vous prennent à quatre pattes pendant les exams, mais surtout, ceux qui ont Hermione Granger avec eux, chez les Serdaigles. On sera ravi de vous accueillir -ainsi que votre thunes- et de discuter un peu de votre cas. »

Respire. Respire. Respire. Dumbledore en imposait. Il fallait dire les choses telles qu'elles étaient, mais le directeur de la tant convoitée école de Poudlard en jetait pas mal. Anthony avait répété des heures et des heures coaché par Graziella, et la pression qu'elle ressentait à l'idée que l'entretient se passe mal touchait le jeune homme également. Comme des mauvaises ondes. Elle s'était battue des heures avec Hans pour qu'il cède à Poudlard (puisqu'il hésitait avec une autre grande école), puis elle lui avait finalement rabattu un joker à la figure, ce à quoi il s'était soumis. En fait, le stress se transmettait sûrement du fait qu'elle lui broyait littéralement la main sous le bureau, oui. Dumby épluchait le dossier du garçon avec attention, ses lunettes glissées au bout de son nez, le silence régnant d'une main de fer dans la pièce. « Eh bien, c'est un bon garçon que nous avons là! » AAAALLEEEZ! Fier comme un coq à l'entente de ce compliment, Anthony allait l'ouvrir, mais sa mère le connaissait trop bien et anticipa en lui arrachant les doigts (et ce fut d'ailleurs mieux ainsi). Quelques flopées de mots, d'interrogations, de réponses, de sueurs froides, de regards assassins, de sourires ultrabright, de politesse presque surjouée, Dumbledore mit fin à l'entretien d'un détonnant; « Je vous enverrai un courrier dans la semaine pour vous faire part de ma décision. » A partir de cet instant, les parents Goldstein guettèrent le facteur tous les matins, sur le qui vive, transpirants à chaque fournée, à chaque lettre cachetée. Ce jusqu'à ce qu'ils reçoivent une enveloppe de Poudlard, que, respectueux, ils laissèrent Anthony ouvrir et qu'il lise tout haut; « nous avons l'honneur de vous annoncer que votre enfant Anthony Perseo Goldstein est admis dans l'établissement scolaire de Poudlard. » Des cris de joies, des accolades.. Bref, du bonheur. Anthony? Il pensait surtout au fait d'enfin partager ses journées entières avec son meilleur copain qui, plus vieux d'un an que lui, y était déjà admis. Aujourd'hui, il n'a aucun regret et se plaît dans cette école comme un poisson dans l'eau.

« Donc j'disais, vous pourrez aussi faire appel aux services d'Ed si vous voulez. (un bref silence s'installe).. Pas ce genre de services, bande de crevards! En gros si j'suis déjà occupé avec une de vos gonzesses, lui aussi peut assurer l'boulot, vous voyez? Bon, j'vous cache pas que c'est vraiment une grosse brêle, donc je vous conseille de me contacter moi. Comme vous pouvez le constater, on est plutôt beaux gosses. Enfin surtout moi. (Eddie soupire) Mais je vous assure que ça a pas toujours été le cas. Ahlala, si seulement vous saviez. Il est temps d'leur faire payer, à ces bitches! »

(note: sa métamorphose date d'avant son entrée à Poudlard)
Anthony faisait face au grand miroir de sa salle de bain, inspectant son reflet avec attention. Il devait être parfait. Il était prêt à lui dire, à cette sublime jeune fille, à quel point il l'aimait, à quel point il l'admirait pour sa beauté, son intelligence, ses qualités et ses défauts.. Bref. Elle était parfaite et il aurait tout fait pour l'avoir. Le jeune garçon remit un peu d'ordre dans sa tignasse brune. Rehaussa ses lunettes cul-de-bouteilles. Vérifia qu'il n'avait aucun reste de son déjeuner coincé dans ses bagues. Prit une longue inspiration. Reboutonna sa chemise jusqu'au cou. Fit claquer les bretelles de son pantalon (oui oui. CE genre de pantalon) comme pour signaler qu'il était paré. Sur le chemin de l'école, il ne pensa qu'à cela. Qu'à cette fille, qu'au discours qu'il allait lui servir. En cours, il ne fit que la fixer, le temps passa à une vitesse folle. Quand la sonnerie de la récré retentit, il se rappela de ce qu'il s'était promis, lui faire une déclaration. C'est ainsi que, rassemblant ses forces, il interpella sa princesse au détour d'un couloir. « Chloe, euh.. Je peux te parler..? » Le regard hautain voire méprisant qu'elle lui lança aurait dû le faire abandonner illico, aurait dû le pousser à se raviser dans la seconde. Mais non. Trop con le petit Tony. Trop amoureux, aussi. « Voilà. Je t'aime. Tu es la fille de mes rêves et j'aimerais énormément qu'on sorte ensemble. » Chloe le toisa de haut en bas, un rictus moqueur collé sur le visage. D'abord incrédule, elle éclata de rire, puis réalisant que ce pauvre garçon ne plaisantait pas, elle pointa sur lui un index réprobateur. Malgré ça, ce crétin eut de l'espoir jusqu'à ce qu'elle l'éclate littéralement, lui, son cœur et sa fierté. « Si tu tiens vraiment à ce que j’envisage de sortir avec toi, commence par penser à un ravalement de façade et à un relooking complet, puis reviens me voir dans quelques années. » Et elle le laissa là, en plan, rieuse, à ramasser les miettes de sa personne qui étaient tombées au sol. Dépité, il n'eut même pas la force de pleurer. Juste de lui vouer une haine absolument infinie et de rentrer chez lui élaborer des plans. Il fut de plus en plus absent de chez lui, rendit de moins en moins visite à son meilleur ami après les cours. Fini les jeux-vidéos jusqu'à pas d'heure, bonjour la salle de muscu et la piscine municipale. Fini les salopettes, les mocassins et les autres cardigans de grand-père, bonjour les jeans, les polos, les t-shirt swagg et les sneakers. Fini l'appareil dentaire (par chance, il était arrivé à la fin de son traitement) et la coupe de cheveux raie-au-milieu-cheveux-plaqués, bonjour les dents blanches et les cheveux gominés au gel. La progression s'exerça par étapes, le résultat final fut un choc. Ses parents, quand il débarqua littéralement transformé, n'eurent qu'un mot à la bouche; « Il mio dio! Où est mon fils? » tandis qu'Eddie lui cracha son soda à la figure alors qu'il lui ouvrait la porte. Celle qui lui avait piétiné le cœur? Elle tenta de le "récupérer" quelques semaines plus tard, toutefois il l'envoya chier d'une telle façon que sa confiance en lui péta le compteur en moins de deux.

« Et pour ça, quoi d'mieux? Faire appel aux attrapes-cœurs, évidemment. Satisfaction garantie, on vous le jure. Et on rembourse si l'effet escompté n'est pas là. Franchement on est réglo. On est pas réglo Eddie? (Tony se tourne vers son acolyte, celui-ci confirme) Voilà, c'est dit. Allez, hésitez plus les gars, c'est pas gratuit mais concrètement, la vengeance ça n'a pas de prix. Arrivederci les puceaux, on vous attend! »

« Anthony Goldstein? » L'éphèbe fit volte face et tomba nez à nez avec un garçon qu'il avait vu une ou deux fois chez ses confrères Poufsouffle. « C'est bien moi! J'peux faire quelque chose pour toi? » Le nouveau venu semblait hésitant, comme s'il se sentait épié. Anthony lui fit grâce de son plus beau sourire, peut-être pour qu'il se détende un peu. « Un pote m'a montré ta vidéo de pub. Au début, j'pensais pas que c'était sérieux, mais un autre gars qui a déjà eu recours à tes services m'en a parlé et.. » Le Pouffy déglutit. Le Serdy aussi. Pas sérieux? Il se foutait de lui ou quoi? Enfin bref, Tony lut dans son regard qu'il était un éventuel client, alors il se montra poli et l'invita à s'asseoir. « Tu seras pas déçu. Pose-toi là qu'on en discute. » Hop hop hop, le pauvre garçon bafoué lui conta son histoire, ses peines, la douleur causée par la rupture faite par SMS, les humiliations subies alors qu'il tentait vainement de la reconquérir. Goldstein approuvait de temps à autres en hochant la tête, le gratifiait de petits mots compatissants. Réellement, écouter ces hommes cassés en deux lui rappelait celui qu'il était avant, et leur venir en aide était quelque chose qui lui tenait à cœur. Bien sûr, sa méthode était radicale, basée sur le simple assouvissement personnel qu'est la vengeance, la satisfaction éphémère. Mais si ça pouvait les aider à se sentir mieux, juste un peu, il était content aussi. Parallèlement, il poursuivait intimement sa propre revanche contre toutes ces harpies superficielles. « Donc. Pour ton cas, j'te fais un topo du forfait. J'me laisse une semaine et trois jours de bonus pour séduire ta gonzesse. Une semaine pour la rendre folle. Je reste avec elle un mois, enfin le temps qu'il faut pour qu'elle soit à mes pieds. Puis je la jette. Si tu veux des délais plus courts, faudra que tu raques. Pareil si tu veux les allonger. En revanche, si c'est moi qui galère et qui doit rallonger les délais, le tarif bougera pas. » Quelques concertations et le contrat était bouclé. Anthony entra en piste dès le lendemain. Aussi lourdingues furent ses approches, beeen elles fonctionnèrent. Il lui dévoila le grand jeu. Les roses, les surprises, les visites en pleine nuit (il détestait faire ça), les petits mots doux. La malheureuse victime n'y vit que du feu, tomba amoureuse de lui encore plus vite qu'il ne l'aurait espéré. Et quand les sentiments de la jeune fille furent à leur paroxysme, Tony, lors d'un ultime rendez-vous, lui arracha le palpitant à main nues pour le malaxer allègrement entre ses doigts. « J'suis désolé, Ella. Y'a plus rien qui m'plaît chez toi. Tu t'es trop attachée à moi, aussi, t'sais j'ai jamais envisagé de passer ma vie avec toi, t'es une histoire parmi tant d'autres. J'pense il est temps d'arrêter là, ça peut pas aller plus loin. » Et encore, sur la demande de son client, il avait été gentil.. Soit, pour fignoler le travail, il eut le culot de lui tapoter l'épaule avant de se barrer comme un voleur alors qu'elle fondait en larmes.


☆ admission : Poudlard, la fameuse école à la réputation tant vantée! Les parents d'Anthony voulant le meilleur pour lui, c'est évidemment vers cet établissement qu'ils se sont tournés. Ils s'y sont pris des mois à l'avance afin de garantir une place à leur fils. Après avoir répété pendant des heures avec sa mère son petit discours d'élève modèle, Tony et ses parents sont allés à l'entretient sereins et tout s'est déroulé comme prévu, c'est à dire très bien. Tony n'a pas pu s'empêcher de caser quelques boutades ci et là, mais rien de bien méchant. Ses dossiers scolaires antérieurs ayant toujours étés bons, Dumbledore n'avait de toute façon pas vraiment de raison de l'envoyer gentiment voir ailleurs. Et puis, à tout les coups, ce sacré Dumby a lui aussi été charmé par les adorables airs d'Anthony. Pfiou, si seulement il savait..
Ensuite, à son dixième grade, le choix de maison n'a pas été cornélien. Trop lambda et "crétin" pour intégrer Serpentard, trop conformiste pour la L-Team, pas assez talentueux pour Poufsouffle. Sportif mais trop dispersé pour Gryffondor. Il ne restait plus que la valeureuse Serdaigle pour l'accueillir, surtout qu'Eddie y était déjà. Il s'y plait très bien et ne se verrait pas ailleurs, cela dit il aurait carrément fallu créer une autre maison pour caser les gars comme lui. Un truc du genre "Connerie" ou "Bouffonnerie".

Alors alors, prêt à embarquer? Ramasse ton baluchon, assure-toi de n'avoir rien oublié : tu entames la traversée du pays des merveilles et c'est un voyage sans retour qu'on prévoit pour toi (sisi, rien qu'ça) Mais avant de te lancer corps et âme dans l'aventure il va te falloir franchir encore quelques étapes. Rien d'énorme, tu verras !

Commence par aller te référencer pour nous aider à faire le tri. Ensuite, il te faudra demander un dortoir si tu es interne : les Poudlardiens ne crèchent pas sous les ponts, ça non ! Enfin, va faire officiellement ta demande d'adhésion à un club ou à une asso' petit chenapan, tu vas quand même pas y participer au noir hein. Enfin, tu pourras partir en quête de potos et prévoir de jeter l'ancre à quelques ports, tu trouveras sûrement des gens cool avec qui t'amuser. Du coup, garde la pêche en prenant soin de ton réseau social : les blogs te permettront de garder un oeil sur les news de l'école, et rien ne vaut un cellulaire pour papoter pénard, même à distance (ou avec ton voisin hein, chacun son trip après tout). Si tu veux personnaliser ton profil, n'hésite pas à passer par la case des demandes de rang.

Et avec tout ça, pense à te glisser dans la zone flood, c'est bon pour le moral ! Allez, à ton clavier et surtout, bon jeu