indique ici tout ce qui fait que ton personnage est unique. des traits de caractère, des manies, des passions, ce qu'il aime, ce qu'il déteste, ce dont il rêve, son pire cauchemar... fais-nous une belle liste d'au moins 500 mots !

☆ histoire :
daddy's smart and mummy's the prettiest lady in the whole wild world
━ Jools, t’aurais pas vu mon maillot d’entraînement ? C’était un jour de mars, un matin frais mais pourtant bien ensoleillé. Aaron Gallagher, du haut de ses 23 ans et dont la carrière prenait tout gentiment de l'ampleur, devait partir pour l’entraînement et pourtant, impossible de trouver un maillot propre pour l’occasion. Il avait déjà vérifié six fois dans la buanderie, sous le lit conjugal, dans son sac de sport, il avait même vérifié le dessus des armoires et le derrière des meubles, mais rien, impossible de le trouver. Il allait finir en retard, et ça, il ne pouvait pas se le permettre, car l'amande au bout faisait toujours mal. Il se résigna donc à y aller sans le vêtement tant désiré, envoya un sms à l’un de ses coéquipiers afin qu’il lui en apporte un. Il dit rapidement au revoir à sa femme et monta dans la chambre de leur bambin afin d’embrasser cette dernière qu'il ne verrait pas avant tard dans la soirée. Lorsqu’il ouvrit la porte, lentement afin de ne pas faire de bruit, la vision qui l’attendait le fit sourire niaisement. Là, à même le sol, sa petite Liz, ses cheveux blonds si caractéristiques à l'enfance lui tombant devant les yeux, s’était endormie, son pouce et le maillot de son géniteur à la bouche. Il secoua la tête tout en riant silencieusement : biens sûr, il aurait dû s’en douter. Il s’approcha de sa fille, la pris dans ses bras et alla l’allonger dans son berceau. Il caressa sa joue puis fila tout en courant en direction du garage. Ils auront une petite discussion un autre jour.

has no one told you she's not breathing ?
La jeune Elisabeth Danielle, tout juste âgée de six ans, regardait ses parents de ses grands yeux verts et brillants, sans trop comprendre ce qu’il se passait. La maison était remplie, de famille, d'amis, parfois même de simples connaissances. Les gens n’ouvraient pas la bouche, se tenaient simplement par la main, quelques sanglots se faisant entendre de temps à autre. La jeune Gallagher était sur les genoux de sa génitrice, la tête dans son coup. Elle n’avait pas encore, à cet âge là, l’aptitude à comprendre la situation, elle avait tout simplement envie de pleurer car elle pouvait voir la tristesse dans les yeux de ses parents et dans ceux de toutes les autres personnes présentes dans la pièce. Sentant les épaules de sa mère se mettre à trembler, elle essaya non sans peine de passer ses petits bras potelés autour du coup de la jeune femme et serra de toutes ses forces, faisant redoubler les pleurs de Julia Gallagher. ━ Maman, pourquoi tu pleures ? Tous les regards se dirigèrent vers le petit couple, les yeux soudain attendris par l’innocence naïve de la petite fille. Et pourtant, toujours cette tristesse continue airant dans la pièce, malgré les efforts vains de la faire partir. ━ Mia est partie, Liz. Elle a été rejoindre les petits anges. Mais ça ira. On s’en sortira. Et Danielle sut, grâce au ton doux de la voix de sa mère et grâce à toute la confiance qu’elle lui accordait, que ça irait. Ensembles, tous, ils y arriveraient.

you look so dumb right now
━ Intello ! La jeune fille leva les yeux de son livre, haussa les sourcils d’un air interrogateur et blasé. Son regard tomba dans celui d’un garçon un peu plus âgé qu’elle entouré de cinq de ses soi-disant amis, qu'elle considérait plutôt comme des petits chiens que comme des amis proprement dit. Un sourire narquois prit place sur ses lèvres lorsqu’elle reconnu celui qui avait pris la parole. Bryan McCoughlin, fils aîné du meilleur ami, et soit dit en passant, coéquipier de son père. Cela faisait maintenant un bon moment que les deux adolescents se connaissaient, bien trop longtemps selon le point de vue. Chaque année, c’était pareil : leurs parents organisaient chacun leur tour cette ‘journée entre amis’, une sorte de crémaillère, dans les jardins de la famille, une journée rythmée par le ballon rond, la bonne humeur, les tacles, les dribbles, la bonne nourriture et la compétition. Peu de gens à l’école connaissaient la passion de la jeune Gallagher, tout le monde ne la voyait que comme une lèche-botte qui ne faisait rien de sa vie à part étudier le fonctionnement du spectromètre de masse. Et pourtant. Et pourtant Bryan était bien au courant, lui, et même, s’il la détestait autant, c’était pour toutes ces fois où l’a jeune l’avait humilié devant les coéquipiers de leurs pères, recevant par la suite de nombreuses félicitations et sympathisant avec les plus grands. Il avait toujours été vert de jalousie de voir ses plus grandes idoles congratuler sa ‘pire ennemie’, comme on a l’habitude de dire à cet âge. Il ne l’aimait pas, ou du moins, c'est ce qu'il essayait de faire croire aux gens, et il le faisait savoir. Il était toujours le premier à avoir des paroles méchantes à son égard lorsqu’il la croisait dans les couloirs, le premier à ricaner et à sortir quelconque critique lorsqu’elle prenait la parole. Liz était bien plus intelligente que ça, c’est pourquoi, alors qu’elle les entendait encore rire dans leur coin de la bibliothèque –eux, dans une bibliothèque ?-, elle se leva, et en passant à côté, elle se contenta de lui lancer son plus grand sourire. ━ On se voit samedi, Baboo. Les divers 'eeeerk elle t'a donné un surnom' et autres 't'as une touche mec, la dèche, elle en plus' qu'elle entendit en passant la porte la mirent de bonne humeur pour tout le reste de la journée

you step a little closer to me, so close that i can't see what's going on
━ Danny, bouge-toi, il commence à pleuvoir ! Les deux adolescents traversaient le terrain sur lequel ils avaient pratiqué quelques exercices en plus, rien que pour le plaisir, après leur entraînement hebdomadaire. En effet, le ciel était à présent gris, et l’averse s’amplifiait au moindre pas que faisaient les jeunes gens. Lorsque enfin ils passèrent les portes du vestiaire, ils en brisèrent le silence de leur éclat de rire simultané. Ils étaient trempées jusqu’aux os, le vestiaire était froid, et pourtant, rien n’aurait pu nuire à leur bonne humeur. Assis à même le sol, Bryan et Liz, bien plus matures que quelques années auparavant, partageaient un fou-rire sans aucune honte, la tête de la jeune Gallagher nichée confortablement dans le cou du garçon. Liz avait rejoint il y a de ça quelques années l'équipe de Bryan, et peu à peu, l'amitié qu'ils avaient toujours renoncé à reconnaître s'était installée entre les deux jeunes gens. Ils restèrent dans la même position un certain moment, profitant du silence revenu. Ou du moins, jusqu’au moment où Danielle sentit une paire de lèvres contre l’os de sa mâchoire. Elle se figea, un frisson lui parcourant la colonne vertébrale. Elle tourna légèrement la tête, prit la parole. ━ Qu’est-ce que tu ..? Elle n’eut cependant pas le temps de finir, les lèvres de son coéquipier s’étant déjà posées sur les siennes. Liz paniqua légèrement, posant ses mains sur les épaules de son ami, prête à le repousser. Cependant, lorsque les mains de ce dernier vinrent se pendre à son cou, commençant à doucement masser sa nuque, elle abandonna toute idée de rejet. Ses propres mains allèrent trouver la taille de son ami alors que ce dernier approfondissait le baiser, mordillant doucement la lèvre inférieure de la jeune Gallagher. Cette dernière, n’ayant tout bonnement aucune expérience, se contenta de se laisser guider par les mains et par les lèvres de son compère, profitant simplement du bien-être que lui faisait sentir Bryan. Lorsque, délicatement, elle sépara leurs lèvres, Liz se mit instantanément à rougir, ne sachant pas quoi dire, elle se contenta de bafouiller des sons indéfinissables. ━ Chut, ne dis rien. Bryan se leva et sans dire un mot s’habilla. Avant de quitter le vestiaire tout aussi silencieusement, il posa ses lèvres sur la joue de Danielle. Cette dernière resta assise, la tête baissée, pendant encore un certain temps. Elle était foutue.

Lorsque finalement elle rentra, c’est tout souriant que son père lui avait fait part de leur imminent déménagement. ━ C’est toi qui choisi, qu’il lui avait dit. Ils discutèrent longtemps des pours et des contres de chaque ville, puis finalement l’adolescente se décida sur Édimbourgh, elle qui avait toujours rêvé d'Ecosse, le pays de sa plus grande idole. Peut-être, voir même certainement qu’un changement du tout au tout ne ferait pas de mal.

☆ admission : qu'est-ce qui a garanti l'entrée de ton personnage à Poudlard, puis dans la maison (Serdaigle, Gryffondor, Serpentard, Poufsouffle, L Team) qui t'a accueilli(e) à son entrée en 10th grade?