Hyper intelligente - geek - explosive - passionnée - impulsive - très bavarde - parle avec les mains (et pas parle à ma main bande de noobs) - tenace (quand elle a un objectif en tête) - têtue - montre une confiance en elle à toute épreuve qui la fait passer pour hautaine (ce qu'elle est un peu, faut l'avouer...) - curieuse - malicieuse - dit tout haut ce que les autres pensent tout bas - touche à tout (dans le sens elle ne se donne aucune restriction pour se documenter sur tous les sujets qui lui tombe sous la main) - fonceuse

Ce qui ne se remarque pas à première de vue, à cause de la couleur de ses cheveux, c'est que Nitro est hyper intelligente. Son QI est plus qu'au-dessus de la moyenne et elle est très fière de ses capacités mentales. Elle ne le crie pas sur tous les toits mais ne se gène pas de prendre de haut et de rabaisser plus bas que terre ceux qui croient que la couleur de ses yeux correspond à l'eau qui fait place de cerveau. Sa grande intelligence aurait pu la mener chez Serdaigle... Sauf que pour plusieurs raisons qui seront évoquer plus bas (donc, il faut lire juuuuusqu'au bout, espèce de lents du clavier), la jeune fille s'est retrouvée à Serpentard. Lookas est aussi une grande amatrice de jeux vidéo et autres MMORPG où elle peut jouer des heures sans se fatiguer. Une vrai geek avec un tempérament très explosif. Quand Lookas joue, ça ressemble à ça : " Mais c'est pas possible d'être entourée de noobs de ce genre ! C'est pas compliquer de dispell !!!! Allez... ALLEZ ! Dps de chiotte ! Même une grand-mère en déambulateur irait plus vite ! C'est pas compliquer, quand il incante, faut dispell ! RIGHT ! RIGHT ! Tous à right pour one shot les adds qui pop !... Et le heal, qu'est-ce qu'il fabrique ? Il a une main dans le slip ou quoi ? Pas moyen de me tenir sur une fight ! Si je crève, faut pas râler ! Pas de tank, tout le monde loose ! Oui... Allez down sa life !! Oui ! OUI ! LOOSER DE BOSS ! Gg les gars ! Afk deux minutes ! "
Quand l'Anglaise fait une chose, elle le fait à fond. C'est une véritable passionnée, tant dans ses mots que dans sa façon d'être. Ce qui fait qu'elle est impulsive, elle a tendance à dire les choses quand ça lui vient et parfois sans réfléchir. Comme ça ! Bim dans les dents ! Le deuxième côté de son caractère explosif est que dès qu'on la cherche, on la trouve. Dès qu'on la touche, elle explose, comme la nitroglycérine. Un mot de travers et c'est une pluie de sobriquets qui tombe, plus hargneux les uns que les autres. Trop franche parfois, elle ne se gène pas pour dire tout haut ce que les autres pensent tout bas Il faut avoir le caractère bien trempé pour pouvoir contrer et supporter Lookas, chose que Gabrielle et Juliet ont (elles ne sont pas les meilleures amies pour rien !)
Autre chose qui n'arrange pas son cas, c'est que la jeune fille est très bavarde. C'est un véritable moulin à parole qui se tait seulement quand elle se love dans les bras de Morphée. Et veillez à garder un périmètre de sécurité quand vous vous adressez à la jeune fille car vous pourriez ressortir d'une discussion borgne ou défigurer. Parce qu'elle ponctue ses paroles de grands gestes, tout le temps. Elle doit avoir des origines italiennes dans le sang !

Lookas dégage une confiance en elle à toute épreuve et elle le fait bien ressentir à son entourage. Elle n'est pas timide pour un sou et ça déstabilise l'adversaire que de croire que rien ne l'atteint. Après, quand on la connait, il est très facile de la faire sortir de ses gonds et même quand elle explose, elle peut oublier le différent quelques jours plus tard. Par contre, quand elle fait preuve d'un manque de réaction, c'est que vous avez réussi à la blesser. Pas de larme pour la demoiselle ! Elle ira s'enfermer dans sa chambre pour écrire toutes la journée, même la nuit jusqu'à ce que sa main la fasse horriblement souffrir ou quelle tombe littéralement de fatigue.
En plus de ça, elle est têtue comme une bourrique et tenace comme un pitbull peut l'être à la jambe d'un cambrioleur. Plus dur qu'un mur, il est impossible de la détourner de son objectif quand elle en a un en tête. Fonceuse, Lookas n'a pas peur de se prendre un mur en pleine figure : elle les explose et passe au travers !

Bien sûr, la jeune fille sait être calme et plus tempérée à ses heures perdues. Elle a une soif d'apprendre immense, ce qui est raccord avec son futur métier : le journalisme. Elle est hyper curieuse et s'intéresse à tous les domaines : la politique, le sport, les arts, l'écologie, etc... Une vraie touche à tout. Il n'est pas anodin de la voir fouiner dans la bibliothèque ou sur le terrain de sport pour se documenter sur tel ou tel sujet, être à jour sur l'actualité sportive ou politique, et même pour s'entraîner à écrire. Certains ont même pensé qu'il pouvait s'agir de Say, surtout à cause de son don. Mais ce n'est pas elle qui dévoile le secret des gens, bien qu'elle aurait aimer être l'instigateur de cette idée. Par ailleurs, elle ne se prive jamais de descendre en flèche toutes les publications de ce "gratte-papier insignifiant". Jalouse ? Un peu quand même ! Avant de parler de son don, Lookas est aussi une personne malicieuse, dans tous les sens du terme. Elle peut très bien s'éclater à nuire la réputation de quelqu'un que vous offrir un sourire espiègle dans le seconde qui suit.

Maintenant, parlons de son don d'écriture. Lookas peut vous faire gober n'importe quoi grâce à ses écrits. Elle manie la langue avec finesse et intelligence, multipliant le vocabulaire et les tournure de phrases. Blanc ou noir ? Vous serez persuadé que les deux en même temps sont vrais. Ce que peu de monde sait, c'est que la belle aime écrire des chansons qu'elle chante, accompagnée de sa guitare.
Cependant, depuis quelques années maintenant, son don est devenu une véritable de drogue qui peut lui pourrir l'existence. Quand elle est distraite, il lui arrive de se surprendre à griffonner sans s'en rendre compte. Chaque seconde, une nouvelle idée à exploiter lui vient et elle se sent obligée de la noter. Sa créativité est illimitée et ça l'épuise. Dans sa tête, c'est une ébullition permanente de mots qui dansent et qui la force à écrire. Il n'est pas rare qu'elle ne dorme pas la nuit et parfois, plusieurs nuits d'affilées. Elle est une très grande consommatrice d'anticerne et de fond teint. Sa plus grande terreur ? Le syndrome de la page blanche. Quand ça arrive, mieux vaut ne pas lui parler car elle vous saute au visage pour vous refaire le portrait.

Bonjour amis blogueurs !
Si vous lisez ces mots, c'est que vous voulez en savoir plus sur moi, alias Nitro. Comme vous êtes au bon endroit, je ne vais pas vous faire attendre plus longtemps.

En premier lieu, il y a eu ma naissance... Tout ce qu'il y a de plus normal dans la vie d'un humain. Je suis née le 31 janvier 1996 à Londres. Je suis fille unique, ce qui m'arrange bien car je n'ai pas à supporter un frère ou une sœur casse-pied. Mes parents sont immensément riche et c'est pourquoi j'ai eu le droit à une éducation très " tu auras le droit au meilleur pour que tu sois la meilleure ". Ma mère est une célèbre photographe de mode et mon père est à la tête d'une entreprise internationale de publicité et de conception graphique. Vous pouvez être sûr que les affichages devant lesquels vous vous extasiez portent la griffe des Nightingales.

Enfance

J'ai côtoyé les écoles les plus prestigieuses, il va s'en dire. De toute manière, j'exige le meilleur, autant de moi-même que des autres. Je me montre hautaine envers ceux que je considère comme faible ou comme peu intéressant, et ce depuis que je suis en mesure de marcher sans tomber tous les trois pas et faire des phrases construite de plus de dix mots. C'est durant cette période que j'ai rencontré Gabrielle Greengrass en premier puis plus tard, Juliet Van Allen. La première, déjà nos parents travaillaient ensemble. Ma talentueuse mère photographiait les mannequins pour les books de la mère de Gabrielle et mon père s'occupait de l'impression des dits books et autres plaquettes publicitaires. Juliet est venue ensuite. Ca été le flash pour moi. Elle avait cette détermination et cette classe qui l'auréolaient. Il faut la voir quand elle marche dans la rue Juliet. On ne peut que se retourner sur son sillage car elle est toujours ultra bien habillée.
Bref, on forme un trio de choc toutes les trois et ce qui nous uni bien plus, c'est que nous avons toutes les trois un parent français ou d'origine française. Donc nous connaissons très bien la langue de Molière. Juliet a par ailleurs eu la bonne idée suivante : parler français quand on veut se faire comprendre par personne. Et puis, c'est chic de parler français.
On est souvent partie en vacances ensemble, à la mer ou à la montagne, qu'importe pourvu que l'on soit toutes les trois. Attention, tout n'est pas tout rose dans notre relation ! Avec nos caractères respectifs, parfois ça clash. Mais on revient vite vers les deux autres pour tout se pardonner. Notre lien est indescriptible et entre nous, il n'y a pas de chichis, de guimauves et autres "gnangnantismes". On se réconforte avec des coups de pieds aux fesses et des "bouge-toi mollassonne !". On se stimule, on s'entraide et on donne le meilleur de nous-même dans notre trio pour être toujours au top. Il n'est pas question de se relâcher ou de baisser les bras.

Très tôt, je me suis passionnée pour l'écriture. L'apprendre a été la révélation de ma vie. Depuis, j'écris sur tous les supports qui me tombent sous la main. D'ailleurs, j'ai toujours un bloc note et un crayon dans une poche pour noter chaque idée qui illumine mon cerveau génial. Dans ma chambre "loft", j'ai une bibliothèque remplie de cahiers de poèmes, de chanson, d'histoire, de journaux intimes... Dès que je m'ennuie, j'écris. C'est une vraie drogue à m'en réveiller la nuit. Souvent, je me lève d'un bond et cours griffonner ce qui me passe par la tête, au grand damne de mes camarades de chambres (qui sont bien évidemment Gabrielle et Juliet). J'avoue que je ne prends pas la peine d'être silencieuse et discrète... Mais c'est pour ça qu'elles m'aiment, non ?

Admission à Poudlard

Et voilà qu'on débarque à Poudlard. Assez vite, on s'impose parmi les élèves. Entre Gabrielle qui obtient ce qu'elle veut grâce à ses mots, moi qui peut lancer n'importe quelle rumeur et Juliet qui impose les styles vestimentaires, notre trio est craint. Je vous avoue que je me fiche bien des autres, qu'ils nous aiment ou non, tant que je réussis dans toutes les matières, que j'écris quand l'envie me prend et que je suis avec mes amies, tout me va. Parfois, je m'amuse à faire planer le doute sur l'identité de Say. Bien que ça m'énerve au plus point de pas avoir été la première à lancer cette brillante idée, j'aime bien faire croire que je suis la plume qui révèle les secrets des élèves de Poudlard.

Je suis l'une des seules de Serpentard qui ne porte pas un surnom de drogue... En même temps, on me prénomme Nitro depuis... Des lustres ! Ce me colle tellement à la peau que c'était idiot de vouloir trouver autre chose.

10 novembre 2008 : C'est horrible. Ca fait déjà deux jours et deux nuits que j'écris sans m'arrêter. J'aimerai tellement avoir le silence dans mon cerveau. Pourtant je continue, je n'arrive pas à m'arrêter. Dès que je dois subvenir à des besoins naturels, je me sens stressée, je transpire, mon coeur bat à une vitesse folle et ces symptômes s'arrêtent quand je sens mon crayon entre mes doigts et l'odeur du papier.
Il faut que je rachète de l'anticerne, je n'en ai presque plus...

Juillet 2009 : Ce soir, c'est méga fête chez une élève. L'alcool est roi, la musique fait saigner nos tympans, tout est propice pour une soirée de débauche. J'avais quelques verres à mon actif et bientôt, les jeux idiots commencent. Je dois embrasser une belle rousse. Pas timide pour un sou et la "cible" ne l'étant pas non plus, on échange un langoureux et sensuel baiser. Contre toute attente, j'adore ça. Je me surprends et finalement, ça se termine à inaugurer la chose dans un lit. Attention, je préfère de loin les hommes et j'espère secrètement rencontrer le prince charmant qui me fera perdre la tête avec ses mots doux susurrés à mon oreille. Juste que partager un moment intime avec le sexe féminin m'est agréable.

Février 2010 : Si jamais je chope ce type... ! Je lui fais une tête au carré ! Il a osé tromper Juliet, ma JUJU, pour une blondasse écervelée. Heureusement que Gabrielle était là pour me rattraper parce que j'étais déjà sur le bas de la porte pour aller l'insulter de tous les noms. C'est ce que j'aime bien chez elle, elle m'apaise et calme mes ardeurs. Et puis son idée est tellement... Tellement tordu que s'en ai jouissif.
Ce crétin est un sportif et la vengeance s'est dessinée toute seule. J'ai envoyé quelques lettres anonymes aux bonnes personnes - sous-entendez ceux qui ne vivent que pour les ragots et autres potins -. La rumeur s'est propagée à une vitesse folle comme quoi le bellâtre se dopait. Elle a pris tellement d'ampleur que des enquêteurs sont venus contrôler. Là, Gabrielle entre en jeu. Peu avant qu'il ne passe les tests, elle l'embrouille comme elle sait si bien le faire et lui fait boire ce qu'il faut pour le discréditer. Quelques mots aux enquêteurs et le tour est joué. La sentence tombe : on lui retire sa bourse, Poudlard le renvoie car les tricheurs ne sont pas acceptés.


Alors un conseil : réfléchissez bien avant de s'en prendre à l'une d'entre nous, vous pourriez le regretter toute votre vie !

(merci à Juliet d'avoir accepté cette peine de coeur et un grand merci à Gabrielle pour ses idées, plus retors les unes que les autres. Te n'aime <3)

☆ admission : Vu la fortune de mes parents, on comprend pourquoi je suis à Poudlard. Ensuite, une place chez les Serdaigles m'était offerte. Cette maison coïncide très bien avec mon super cerveau. Sauf que Gabrielle venait d'être acceptée chez Serpentard... Alors j'hésitais. Je vous rassure, je me suis décidée rapidement, surtout après le "tea time" que la brune avait organisé avec une poignée de filles de Serdaigle. Grâce à ses mots, elle me convainquit des pires défauts des bleus et jaunes et me prouva par a+b que je ratais ma vie si je n'allais pas à Serpentard. Même si je rageais de lui donner raison - et que son don de parole m'insupportait dans ces cas-là parce que je me faisais avoir moi aussi, je savais au fond de moi qu'elle avait raison. On devait être dans la même maison, il était hors de question pour nous trois de ne pas faire notre cursus scolaire ensemble. Un petit mot au professeur Jedusor de ma main - je ne me prive jamais d'user de mon don d'écriture, même envers ce professeur génialissime - et me voilà chez les verts et argents ! Et il est évident que je suis au niveau Optimal !