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 Jensen S. Dorny - « We can be Heroes »

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Jensen S. Dorny
Jensen S. Dorny
☆ Inscription : 22/02/2013
☆ Messages : 28
☆ Célébrité : Luke Pasqualino
☆ Dispo : présent(e)
☆ Blaze : Marie
☆ Crédits : The Joker
☆ Réputation : 0
☆ Âge : 18y.o
☆ Études : 12th grade (musique) + club photo / DJ
☆ Côté coeur : Comment?
☆ To do list :
Spoiler:

☆ Call me maybe : il était une fois un DJ de la Comté, qui se cherchait une fratrie à la tombée de la nuit pour dessiner des cercles concentriques sur une étendue désertique.
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MessageSujet: Jensen S. Dorny - « We can be Heroes »   Jensen S. Dorny - « We can be Heroes » EmptyVen 22 Fév 2013 - 12:55


Jensen S. Dorny

彡w/ Luke Pasqualino
personnage inventé ou pv ? joli pv ! surnom(s) : Jay. date&lieu de naissance : 8 janvier 1995, Londres. âge : 18y.o. nationalité : anglaise. statut social : Très riche, mais peut vivre de peu de choses situation : marié mais célibataire, ou célibataire mais marié, du genre c'est compliqué, v'voyez? orientation sexuelle : hétéro occupations : 12th grade (option musique & Histoire des arts) + club de photographie, parce qu'il ne savait pas quoi faire d'autre, pauvre chou / DJ (de talent ouioui). maison : Proud to be a Lambda, eh ouais. niveau : A.


彡Sûr, y'en a pas deux comme moi

Jensen, c'est le mec cool par définition, celui qui donne sa chance à tout le monde, celui qui ne méprise pas sans raison valable. Il n'est pas spécialement chaleureux avec les inconnus, mais il ne les met pas à l'écart non plus, qu'importe la maison ou les rumeurs qui se propagent. Il n'est pas difficile, et il s'entend avec pas mal de gens. Il est cependant assez délicat de devenir un bon ami, puisqu'il ne se bouge pas vraiment pour créer des liens. Il attend que ça lui tombe dessus. Bien qu'il ne le dise jamais, il tient énormément à ses amis et souhaite par dessus tout leur bonheur. Bonheur qu'il n'hésitera pas à leur apporter s'il le peut, au détriment du sien. Grâce à ses talents -sisi-, il s'est fait une place de choix dans la hiérarchie du lycée. Il est souvent convié aux meilleurs soirées pour s'occuper de la musique. De plus, il sait s'amuser avec les autres et animer comme il se doit. En cours, il fournit uniquement le strict minimum. Il n'est au lycée que par obligation et il se plaît à le montrer. Sa principale activité ? Compter les secondes qui le séparent des vacances, et Dieu sait que ça prend du temps. Cependant, entre les phases de sommeil, les phases de rébellion et les phases de fixation intense sur les aiguilles, il arrive tout de même à prendre deux-trois notes qui lui permettent de rester à niveau.

Sa sœur, Kaya, est sa raison de vivre. Depuis son enfance il s'occupe d'elle du mieux qu'il peut malgré la charge du handicap. Elle a d'ailleurs fait beaucoup de progrès grâce à Jensen. Elle ne parle qu'à lui et l'appelle même « Papa », au grand désespoir de Jay. Il ne peut s'empêcher d'être en colère, il ne comprend pas que la situation ait pu prendre une telle tournure. C'est leur père qu'elle devrait appeler ainsi, c'est son père qui devrait faire son possible pour l'ouvrir au autres, c'est son père qui devrait essayer de la faire sourire, pas lui. Il est vraiment en colère contre ses parents, qui, pour lui, n'en ont que le nom. Plus que son propre abandon, c'est celui de Kaya qui le pousse vers une haine viscérale. Le harcèlement et la disparition de sa sœur l'ont rendu fou. Pour lui, les seuls responsables sont ses parents -qui ne cherchent pas à s'investir dans les recherches, et qui ne semblent d'ailleurs pas ravis de la retrouver-, et sa rage n'en est qu'attisée. Kaya est une partie de son cœur qui lui a été sauvagement arrachée. Il en souffre en permanence et ne pense qu'à la retrouver.

Jensen manque de sommeil, c'est certain. L'inquiétude le ronge tant et si bien qu'il en est incapable de dormir. Il passe la plupart de son temps nocturne à se torturer l'esprit, à composer, ou encore à compter les secondes. Dans le pire des cas, il erre dans les couloirs en quête d'inspiration ou de tranquillité. Il devient également paranoïaque. Si au début cela concernait uniquement sa sœur, pour laquelle il imaginait toujours le pire, le trouble a augmenté lors de la disparition de Kaya et depuis qu'il ne dort plus. Il n'en est pas encore à se retourner toutes les demies secondes pour vérifier que personne ne le suit avec un couteau à la main, et ses accès de panique restent relativement rares. Mais dans le cas-où, il peut aller jusqu'à la théorie du complot que ses parents auraient mené pour les faire disparaître, sa sœur et lui. Les seuls moments de sérénité extrême qu'il savoure, il les passe en compagnie de la musique. La passion est originellement liée à un caprice idiot d'enfant riche qui en avait marre de jouer du piano et qui trouvait la guitare bien plus cool. Est ensuite arrivée l'amour de l'électro, puis son premier ordinateur, puis un matériel de plus en plus perfectionné. J'ay s'est vite imprégné de tous les styles possibles et imaginables qu'il pouvait réaliser, et avec du travail et -il l'avoue volontiers- un peu de talent, il s'est mis à composer. Aujourd'hui, en plus d'avoir une culture musicale, surtout électro, développée et des compétences assez extraordinaires, il est régulièrement demandé pour mixer dans les meilleures soirées. Il est fier de ce qu'il fait et est parfaitement conscient de son don. Mais comme le talent à lui seul ne suffit pas, il travaille avec acharnement pendant des heures pour un seul morceau qu'il veut proche de sa perfection. Il en est à ce point soucieux, et la passion se fait si dévorante que cela tourne à l'obsession. 86400. 86400 secondes font vingt-quatre heures. Ça, Jensen le sait mieux que quiconque. Il n'est pas rare de le voir dessiner des bâtons dans la marge de ses cahiers. C'est une manie qu'il a développé à force de compter les heures avant de rejoindre sa petite sœur. Au début, il comptait seulement les jours, puis les heures, puis les minutes, et, plus rarement, les secondes. Cette lubie est devenue un rituel très important chez le garçon, qui est beaucoup plus détendu quand il a conscience du temps qui passe.




Il déteste l'eau, bien qu'il sache nager. Il lui arrive de donner des noms aux objets, et de leur parler. Par exemple, il a de grandes conversations avec son ordinateur. Personne ne peut toucher à ses platines, à son PC, ni à quoi que ce soit en rapport avec sa musique. Il adore les animaux, bien qu'il ne ressente pas le besoin d'être près d'eux en permanence. Il a failli s'étouffer avec un petit pois un jour, depuis, il refuse catégoriquement d'en manger. Il croit dur comme fer à la malédiction de Wayne. Il a toujours une boite de somnifères dans sa valise et une boite d’antistress dans son sac de cours, au cas-où. Il a trois montres : une dans son sac, une au poignet et l'autre dans sa poche. Au-dessus de son lit, il a accroché des dessins que Kaya lui a fait. Il ne boit jamais en soirée, car il doit assurer jusqu'au bout avec la musique. Il fume un peu, et seulement quand il est trop nerveux. Il a peur de l'orage, mais il le cache très bien, ou à-peu-près. Il a la manie de s'enfermer dans une pièce sans fenêtre -même le placard à balais devient le refuge rêvé-, casque sur les oreilles et musique à fond. Et il peut rester ainsi des heures, tant que l'orage n'est pas parti. Il adore les bonbons. S'il pouvait, il ne mangerait que ça. Il a un problème avec le orange. C'est physique. Il ne mange donc aucun aliment de cette couleur. La musique est sa seule satisfaction, c'est pour ça qu'il se permet d'être un peu orgueilleux en ce domaine. Il n’excelle en rien d'autre. Hormis retrouver sa sœur, il n'a aucun projet dans la vie, et sa future orientation reste très brumeuse. Il est contre toute forme de violence gratuite. La persécution, ça le rend malade. Il est quasi-indépendant financièrement, et heureusement, il ne veut pas avoir à dépendre de ses parents.


彡Ça casse bien 3 pattes à un canard
☆ histoire :

Kaya. K-A-Y-A. Quatre lettres qui résument une existence. La sienne. Ses grands yeux, son sourire qu'elle ne réserve qu'à lui, ses mots à peine audibles, l'amour inconditionnel qu'elle offre à quiconque croise son regard. Kaya. Kaya. L'amour du frère au-dessus de toutes les maladies. La patience au-dessus de toutes les angoisses. Le bonheur au-dessus de tous les désespoirs.
Il avait des étoiles dans les yeux quand il en parlait. Un sourire heureux illuminait son visage d'enfant. Il avait le corps de l'innocence et le cœur de l'Homme. Kaya, l'enfant qui grandit les autres. Il était le seul à l'aimer, à la chérir comme l'ange qu'elle était. Lui seul pouvait lire en elle comme dans un livre ouvert. Sa sœur, sa petite sœur au grand cœur. Il dégageait l'aura du père, de la mère, du frère et de l'ami. Petit adulte d'une dizaine d'années.





Il erre dans les couloirs telle une âme en peine. Il a encore feint la maladie pour s'évader de cette salle de cours où il se sentait étouffer. Il a mal à la tête, au ventre. L'inquiétude se fait plus forte quand l'inspiration se barre en enfer. Il se laisse glisser contre le mur du couloir sombre, le visage dans ses mains. Il est hanté par le vide. Il entend la course de la trotteuse, dans sa montre. Le temps passe, et lui il ne bouge plus. Il est figé dans ce présent qui ne le satisfait pas.

Il s'imagine loin de Poudlard, dans sa maison de campagne. Il est dans le jardin. Son chien est en train de ronfler de bonheur à ses pieds. Plus loin, il voit sa petite sœur. Elle est assise à même le sol, les bras emprisonnant ses jambes repliées. Elle effectue un léger balancement, toujours trop régulier. Il s'approche doucement d'elle, lui sourit. Elle ne réagit pas. Elle ne réagissait jamais quand elle était ainsi. Elle partait sur une autre planète ou les autres êtres humains ne sont que des meubles, des formes présentes physiquement mais dénuées d'intérêt. Il s'assoit à côté d'elle. Et il commence à parler, parler, parce que c'est la seule chose qu'il puisse faire. Il a encore la voix de l'enfant de onze ans qui essaye de se donner un air d'adulte. « Tu sais Kaya, on devrait se sauver tous les deux. Ce serait bien. On laisserait Papa et Maman qui s'en fichent, de nous, et on partirait loin. Je m'occuperais de toi comme d'habitude, et on ne serait jamais séparés. Ce serait bien, non ? » Il jette un regard à la petite qui se balance toujours, le regard dans le vide. Elle n'écoute pas vraiment. Alors il continue. « Mais je n'ai pas le choix. Si je n'accepte pas de partir, ils trouveront un autre moyen de t'éloigner de moi, en t'envoyer chez Grand-Mère, par exemple. Ils ne supportent pas le fait que je m'occupe mieux de toi qu'eux deux réunis. Ils sont jaloux, surtout maman, je crois. » Il sourit faiblement devant la bêtise de son idée. Des parents jaloux de leurs enfants, c'est impossible. Kaya a arrêté de bouger. Elle garde son regard porté vers un point invisible qui semble l'ennuyer profondément. Mais elle écoute, il le sait. « Tu vas devoir être courageuse, avec les parents. Il faut que tu essayes de ne rien oublier de tout ce qu'on a fait ensemble, ok ? Tu continueras de dessiner, hein ? Et puis tu essayeras de parler un peu aussi, il ne faut pas perdre les mots. Tu promets ? » Il tend sa main et elle tape dedans en souriant. Il est certain qu'elle a tout compris. L'autisme ne la rend pas bête, au contraire. Elle est admirablement intelligente. Il sait que son absence va être dure à vivre pour elle qui ne supporte pas le changement, mais elle s'habituera. Les larmes lui montent aux yeux tant il est horrifié par ce départ brutal. Il aurait voulu quelque chose de bien plus doux pour Kaya, quelque chose qui aurait pu éviter une perturbation inutile dans sa progression. Mais non, ses monstres de parents n'en avaient que faire. Pour lui épargner la vue de l'autorité qui faiblit, il l'attire à lui et la serre dans ses bras. « Papa... promis ! » Le voilà bouleversé. Cette manie de l'appeler « papa », de parler toujours au moment parfait, de sourire avec innocence. Elle allait lui manquer, encore plus plus que tout ce qu'il était prêt à admettre.

Il redresse la tête avec difficulté. Il est toujours là, assis contre le mur froid, dans le couloir. Il cligne des yeux, encore ému de ce rêve qui lui semblait pourtant si réel. Il essaye de se relever, mais la fatigue accumulée depuis plusieurs jour pèse démesurément sur ses épaules. Il se laisse à nouveau tomber au sol. Il lutte pour rester conscient, en vain. Il n'est plus le maître de lui-même et il sombre bien vite.

Il se voit maintenant dans la maison londonienne de ses parents. Depuis longtemps il a arrêté de considérer l'endroit comme son foyer. Ses parents sont tous les deux face à lui, l'air indifférent celui qu'ils lui réserve à chaque fois qu'il rentre pour les vacances. Quelque chose le surprend. D'habitude, sa sœur est déjà en train de lui montrer ses dessins avec une fierté non-dissimulée. Elle ne semble pas être là. Sans un mot pour ses géniteurs, il monte ses bagages dans sa chambre. Toujours personne d'autre. Il s'inquiète. La chambre de Kaya est vide, le lit est fait. Tout semble dépourvu de vie. L'inquiétude laisse place à la panique. Une chose grave est arrivée, il en est convaincu. Il redescend en trombe. Ses parents n'ont pas bougé. Il n'attend pas qu'ils prennent la parole, il hurle déjà. Sa mère tremble légèrement, son père rougit de colère. Il demande, supplie, il veut voir sa sœur maintenant. La réponse est sans appel. « Elle a disparu. Depuis quatre jours nous n'avons plus signe de vie. » Tout s'effondre autour de lui. Il est tellement scandalisé que les mots ne sortent plus. Kaya, le pourquoi de son existence, avait disparu. C'était impossible. Elle était toujours sous surveillance, celle de ses professeurs à l'école, celle de ses parents le reste du temps, à moins que... Le chemin se faisait lentement dans sa tête. Il pouvait retourner la situation comme il le pouvait, ils étaient toujours les fautifs. Ils n'avaient jamais réellement accordé d'attention aux besoins spéciaux dont avait besoin sa petite sœur. Ils avaient été capables de refuser un changement d'école vers un institut spécialisé, valant à Kaya de nombreuses et violentes brimades. D'ici à ce qu'ils la laissent se livrer à elle-même, il n'y a qu'un pas. Pas franchi, visiblement. Furieux, il remonte et attrape sa valise. Il lui est impossible de rester en présence de ces gens hideux. Il rassemble ce qu'il juge important dans sa chambre, abandonne le reste à son sort. Quand il réapparaît dans le salon, le couple est retourné à ses activités,, comme s'il n'y avait rien d'anormal. Il explose. « C'est une blague ? Pourquoi vous ne la cherchez pas ? Bougez-vous pour la retrouver avant que... avant que... merde ! C'est votre fille, votre enfant ! Alors faites quelque chose pour elle, au moins une fois dans votre vie, essayez de vous comporter en parents ! » La femme laisse tomber sa tasse de thé, sans doute troublée ou vexée. L'homme, lui ne réagit pas. Il n'y a rien à faire, aucun ne bougera. Il pousse un ultime juron et part. Il ne s'attend pas à être suivi et retenu, mais le silence lui fend le cœur. Il ne sait pas où il va. Il avance juste dans la ville. Il est décidé à trouver sa sœur coûte que coûte. Et au diable Poudlard et tout le reste. Il pourrait parcourir le monde pour sa petite sœur, et bien plus encore. Il se laisse tomber sur le trottoir désert. Il ne sait pas par où commencer, ni comment procéder. Il ne sait rien. Kaya était là, et puis pouf, partie. Aucune autre information. Il cache son visage dans ses mains et se met à pleurer. Il essaye de se souvenir de ce que lui disait la gouvernante au sujet des hommes qui ne devaient pas pleurer et rester forts, en vain. A quoi bon être fort si sa source de motivation s'est évaporée.

La sonnerie retentit et il sursaute. Il entend les bruits de chaises, les voix qui s'élèvent, les portes qui s'ouvrent, et il se demande depuis combien de temps il est là. Il se relève précipitamment en voyant les plus pressés débouler dans le couloir. Très vite, un flot d'élèves emplit tout le bâtiment en même temps que des pensées désordonnées emplissent son esprit. Il se mêle à la foule, se laisse guider tout en se demandant s'il ne ferait pas mieux de quitter définitivement l'école malgré les bonnes paroles de Dumbledore. Quelqu'un le heurte volontairement. Près à en découdre, il se retourne et lâche un léger sourire. S'éloigne sans un regard en arrière une silhouette connue. Il crie. « Dis bonjour, connard ! » La silhouette s'arrête une demie-seconde, le temps d'envoyer son plus beau majeur, et repart. Jensen la voit s'éloigner et reprend sa route de son côté, la perspective de tout plaquer bien emballée dans un coin de son cerveau.



Interne Demi-pensionnaire Externe


☆ admission : Jensen a un don. Tout le monde l'a remarqué. La musique, il la vit, il la pense. Il a tout d'un parfait petit Poufsouffle. Il se serait d'ailleurs sûrement plu au sein d'autres excentriques passionnés. Mais inexplicablement, la L Team, ça a été comme un coup de foudre, une évidence. Il n'a pas hésité une seule seconde avant de gonfler les rangs.
Peu exceptionnel au niveau scolaire, socialement plutôt adapté, loin d'être un athlète, il ne se voyait pas dans une autre maison. Et la musique ? Monsieur prétend ne pas avoir besoin du club d'art pour faire son petit bonheur, et à raison : il a pas mal de succès, même en temps qu'individu « lambda », et il est parfaitement intégré au groupe, qu'il apprécie énormément.


彡Derrière le nargol?
ALOHA BANDE DE POULPES ROSES A POIS BLEUS DE JAVANIE. iiih Moi c'est Marie, Mari', Kei, keixshu ou omtb (un peu wtf celui-là hum), c'est tout comme vous voulez. J'ai bientôt seize ans (ouais bon, dans 4 mois, mais laissez-moi rêver) et je vis quelque part où le champagne est bon. Ma maman est un léopard et mon papa un bigorneau, donc je suis un hybride en fait, je suis un léorneau, ou un truc du genre vous-même vous savez.
Sinon, j'ai pas mal de passions dans la vie, genre lire , la musique, mon cheval, et c'est environ tout. Ah ouais, la passion ultime : ma couette.
Je rajoute que les paroles de « J'accuse » pour les titres des sujets PV, c'est divin, amour éternel à celui qui a crée les topics. Et puis les paroles de Harder Better Faster Stronger de Daft Punk sur le design, je suis joie, parce que lgfhdgfj ce morceau. :han:
Alors comme ça (...) On peut trouver un arrangement? No way, tu m'échapperas pas ! kkk
Pour le bottin (en minuscules) :
Code:
[b]Luke Pasqualino[/b] [i]Jensen S. Dorny[/i]
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Dernière édition par Jensen S. Dorny le Sam 2 Mar 2013 - 6:45, édité 8 fois
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Megan S. Jones
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☆ To do list :
Spoiler:

☆ Call me maybe : il était une fois un veaudelune des bois, qui se cherchait une fratrie à la tombée de la nuit pour dessiner des cercles concentriques sur une étendue désertique.
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MessageSujet: Re: Jensen S. Dorny - « We can be Heroes »   Jensen S. Dorny - « We can be Heroes » EmptyVen 22 Fév 2013 - 13:13

hooooooooooooooooooooooo chériiiiiiiiiii. kkk
pas trop tôt. ça fait depuis un p'tit moment maintenant que la vaisselle, le ménage... puis accessoirement mon lit aussi t'attendent. roll
mais après l'effort, le réconfort. donc le ménage d'abord. What a Face * sort *

&& plus sérieusement... BIENVENUEEEEEEEEEEEEEEE ! luv
j'attends depuis un p'tit moment maintenant que jensen soit pris, donc je suis trop trop trop contente. finis vite ta fichouille que je m'occupe de toi comme il se doit. :han: (aa)
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Michael Corner
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☆ To do list :
Spoiler:

☆ Call me maybe : il était une fois le mystérieux Mikki, qui se cherchait une fratrie à la tombée de la nuit pour dessiner des cercles concentriques sur une étendue désertique.
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MessageSujet: Re: Jensen S. Dorny - « We can be Heroes »   Jensen S. Dorny - « We can be Heroes » EmptyVen 22 Fév 2013 - 13:37

jensen heart bienvenue parmi nous et super bon choix de pv yeah
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Draco L. Malefoy
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☐ Break up with a friend: “honey, it’s not you — it’s me”.
☐ Book a ticket to somewhere and fly off.
☐ Push for the creation of a sex phone club.
☐ Stay in bed all day.
☑️ Write a declaration of my genius.
☑️ Be rude to someone who pisses me off.
☐ Quit smoking/drinking/using drugs (ok.. i'll NEVER be ready for that).
☑️ Buy myself something totally lush, luxurious and useless.
☐ Take the bus... just to try.
☑️ Say no when someone asks for my help. Don’t explain.
☐ Challenge Blaise to bathe naked in the pool
☐ Speak only in Morrissey lyrics.
☑️ Crash a wedding.
☆ Call me maybe : il était une fois un veaudelune des bois, qui se cherchait une fratrie à la tombée de la nuit pour dessiner des cercles concentriques sur une étendue désertique.
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MessageSujet: Re: Jensen S. Dorny - « We can be Heroes »   Jensen S. Dorny - « We can be Heroes » EmptyVen 22 Fév 2013 - 14:22

Megan S. Jones a écrit:
j'attends depuis un p'tit moment maintenant que jensen soit pris
oalalalala elle attend depuis une semaine pile poil mais à l'entendre ça fait un éternité tsais mdrr mdrr mdrr m'enfin...

bienvenue gros yeah supeeeeeer bon choix de pv, je suis aussi happy que ta jolie blonde parce que jensenetmeg ça va de paire quoi, il en fallait un, obligé ! hâte de voir votre duo de choc à l’œuvre, ça promet d'être hot&cold iiih bon courage pour ta fiche ! si t'as besoin de quelque chose n'hésite pas à mpotter le Théo(rème) la Mil(l)i(taire) ou Draco(feu), on est là pour ça bam bref maintenant je me tais parce que je raconte n'imp' là toc
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Megan S. Jones
Megan S. Jones
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MessageSujet: Re: Jensen S. Dorny - « We can be Heroes »   Jensen S. Dorny - « We can be Heroes » EmptyVen 22 Fév 2013 - 15:42

PARDON è_é ?
déjà. déjà. dracofeu, c'est un surnom by me. okay ? copyright. tu devrais toujours me citer à côté quand t'en parle ! tseuh tseuh. Rolling Eyes

puis une semaine, en âge martien, ça fait beaucoup de temps hein. héhé * sort *
[hs mais connecte-toi sur msn dracofeu, j'ai à te causer weshweshgros.]

bref, j'arrête de polluer ta fichette, jensen. kkk (aa)
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Jensen S. Dorny
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MessageSujet: Re: Jensen S. Dorny - « We can be Heroes »   Jensen S. Dorny - « We can be Heroes » EmptySam 2 Mar 2013 - 7:21

Oueeeeeesh, pardon pardon, j'ai eu un temps de réponse déplorable. euh

Megan: Aoutch. Tout, je suis prêt à touuuuut (surtout le lit en fait roll), mais pas la vaisselle, PITIÉ. Au pire, on peut pas zapper l'effort pour direct le réconfort? .. Non?
Merci beaucoup jolie demoiselle, j'ai pris mon temps pour ma fiche, d'solée. euh

Michael: Thaank you omg heart

Dracofeu (©️Megan): Ooooh, quand tu as écris ce message, j'avais pas encore donné mon identité mouahaha. Merci beaucoup my dear pour cet accueil. owi

Re-Megan (bah oui): En fait, je vais culpabiliser, parce que si on calcule bien, ça fait presque deux éternités que tu attends. Mais me voilà. ** :han:
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Draco L. Malefoy
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MessageSujet: Re: Jensen S. Dorny - « We can be Heroes »   Jensen S. Dorny - « We can be Heroes » EmptySam 2 Mar 2013 - 8:13

dfalskfjadfhadahs tu me rends dingue de toi (genre un peu plus que je ne l'étais déjà) tbe en apprenant qui se cachait derrière cette belle gueule je me suis dit "la relation avec la sœur sera parfaitement exploitée, c'est sûr" - t'ayant déjà vu à l’œuvre je ne pouvais pas douter. et là tu donnes raison à toutes mes attentes : tu as donné une belle profondeur au personnage, ta façon d'écrire ses sentiments est prenante. bref, c'est comment dire... parfait? (ps au cas où : ne meurs pas de bonheur, tu me claques trop souvent entre les doigts èé t'as le droit seulement si tu revis tt de suite après pour que je puisse continuer de te susurrer des mots doux kkk ).

You did it !


彡t'es validé, moussaillon !
Alors alors, prêt à embarquer? Ramasse ton baluchon, assure-toi de n'avoir rien oublié : tu entames la traversée du pays des merveilles et c'est un voyage sans retour qu'on prévoit pour toi (sisi, rien qu'ça) kkk Mais avant de te lancer corps et âme dans l'aventure il va te falloir franchir encore quelques étapes. Rien d'énorme, tu verras !

Commence par aller te référencer pour nous aider à faire le tri. Ensuite, il te faudra demander un dortoir si tu es interne : les Poudlardiens ne crèchent pas sous les ponts, ça non ! Enfin, va faire officiellement ta demande d'adhésion à un club ou à une asso' petit chenapan, tu vas quand même pas y participer au noir hein. Enfin, tu pourras partir en quête de potos et prévoir de jeter l'ancre à quelques ports, tu trouveras sûrement des gens cool avec qui t'amuser. Du coup, garde la pêche en prenant soin de ton réseau social : les blogs te permettront de garder un oeil sur les news de l'école, et rien ne vaut un cellulaire pour papoter pénard, même à distance (ou avec ton voisin hein, chacun son trip après tout). Si tu veux personnaliser ton profil, n'hésite pas à passer par la case des demandes de rang.

Et avec tout ça, pense à te glisser dans la zone flood, c'est bon pour le moral ! Allez, à ton clavier et surtout, bon jeu hihi

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